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Le CNRS et l'Inserm réfléchissent aux façons de travailler ensemble en sciences de la vie, afin de faire une proposition conjointe à Valérie Pécresse, ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche. C'est ce que déclare à l'AEF la présidente du CNRS, Catherine Bréchignac, aujourd'hui, jeudi 22 mai 2008, à l'issue du conseil d'administration de l'organisme. Celui-ci constituait un point d'étape sur l'élaboration du plan stratégique du CNRS, ainsi que sur sa réorganisation. Mardi dernier, Valérie Pécresse a rendu publiques les grandes lignes de la réorganisation de l'organisme (L'AEF n°318039), suscitant des protestations, notamment des organisations syndicales (L'AEF n°314768) et de directeurs d'unités (L'AEF n°310066).
Les organisations syndicales siégeant (Sgen-CFDT, FERC-CGT, Unsa, FO et FSU) au CTPM (comité technique paritaire ministériel) ont quitté la séance, hier mardi 20 mai 2008, dans l'après-midi, suite à la publication de l'entretien de Valérie Pécresse dans "Le Monde". La ministre y annonçait les grandes lignes de la réorganisation du CNRS (L'AEF n°318039). Le CTPM avait pour objet le rapport d'Aubert (L'AEF n°322757).
Dans une déclaration lue à l’issue d’une réunion au siège parisien de Solidaires dans la foulée de la 10e journée de mobilisation contre la réforme des retraites le 28 mars 2023, l’intersyndicale annonce la poursuite des grèves et des manifestations au niveau interprofessionnel avec un nouveau rendez-vous national programmé jeudi 6 avril. Cette décision intervient après la fin de non-recevoir adressée par l’exécutif à la demande de médiation réclamée par les syndicats pour tenter de trouver une issue au conflit dans le dialogue. Avec comme préalable la mise en suspens de la réforme prévoyant le recul de 62 à 64 ans de l’âge légal de départ à la retraite qui fait l’objet de plusieurs recours devant le Conseil constitutionnel. L’intersyndicale continue donc d’afficher son unité alors que, de l’aveu même de Philippe Martinez, une incertitude existe désormais sur la position qu’adoptera la CGT à l’issue de son congrès réuni actuellement à Clermont-Ferrand et devant se solder par le départ du leader de la centrale de Montreuil et la désignation d’une nouvelle direction confédérale.