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Le secrétariat d'État en charge de l'Emploi apporte 1 million d'euros au financement de "La Manu", déclare Laurent Wauquiez à l'occasion du lancement de cette agence (sous statut associatif) jeudi 6 novembre 2008 à Paris. "La Manu" se présente comme "un acteur indépendant qui fabrique le lien entre étudiants et entreprises", explique Julie Coudry, ancienne présidente de la Confédération étudiante, sa directrice générale. "Trois pôles" seront ouverts en 2009 dans des campus universitaires.
"Les barrières sont en train de tomber entre universités et entreprises", déclare Valérie Pécresse, ce mercredi 4 juin 2008, en clôture des premières RUE (Rencontres universités-entreprises, L'AEF n°320304), qui ont rassemblé quelque 400 participants représentant des universités et des entreprises. La ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche estime que "le temps est venu où chacun a compris l'intérêt qu'il a à travailler avec l'autre".
Deux universités (Cergy-Pontoise et Paris-VII Denis-Diderot) et trois entreprises (L'Oréal, Randstad, Thales) rejoignent la deuxième édition de l'opération Phénix, lancée jeudi 17 avril 2008 à la Sorbonne. Celle-ci consiste à proposer des postes de cadres dans de grandes sociétés à des étudiants en Master 2 recherche, notamment en SHS (sciences humaines et sociales), tout en les faisant bénéficier d'une formation. Au total, dix entreprises et sept universités franciliennes font partie du projet.
"Les entreprises n'ont qu'une envie, que la recherche française soit globalement à la pointe", déclare Laurence Parisot, invitée des "Grands entretiens" de l'université Paris-Dauphine, hier mardi 18 mars 2008. La présidente du Medef intervenait sur le thème: "Entreprises et universités: un nouveau départ". Cependant, la présidente du Medef déplore que "les conditions matérielles de certaines universités soient en deçà de ce que les Français peuvent attendre". Dans le budget de l'État, "l'enseignement supérieur doit être une priorité absolue et la recherche la deuxième priorité", insiste-t-elle.
"Une expérience professionnelle, quels que soient le secteur d'activité et le niveau d'emploi occupé, constitue un plus apprécié par les recruteurs, conférant ainsi une véritable valeur au travail étudiant dans toutes ses formes", selon un rapport sur "le travail des étudiants" du CES (Conseil économique et social), rendu public ce lundi 26 novembre 2007. La section travail du CES, qui a adopté un projet d'avis à la suite de ce rapport, estime que le travail étudiant peut être un atout à partir du moment où l'étudiant salarié ne travaille pas plus de 15 heures par semaine. Le projet d'avis, dont le rapporteur est Laurent Bérail (CFDT), recommande en outre "certains aménagements dans le Code du travail", parmi lesquels l'instauration d'un "congé de droit pour examen", qui permettrait aux étudiants salariés de passer leurs examens sans être pénalisés dans leur emploi. Le projet d'avis sera discuté en assemblée plénière du CES le mardi 27 novembre 2007 et l'avis sera voté le lendemain.
"Phénix, c'est un franc succès dans la démarche, unanimement saluée et à juste titre, mais un demi-succès dans le nombre de candidats retenus", car les entreprises n'ont "pas trouvé dans le vivier des candidats les futurs salariés qu'[elles étaient] prêtes à recruter", déclare Valérie Pécresse, ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, ce lundi 1er octobre 2007, depuis l'université Paris-XII Val-de-Marne à l'occasion de la rentrée de la première promotion de l'opération Phénix. Ce dispositif consiste, pour les 7 entreprises fondatrices (PricewaterhouseCoopers, Renault, AXA, Coca-Cola, Siemens, HSBC et la Société générale), à recruter des étudiants de master 2 de lettres, sciences humaines et sociales et sciences. Cinq universités participent à l'opération: Marne-la-Vallée, Paris-XII, Paris-I Panthéon-Sorbonne, Paris-III Sorbonne-nouvelle, et Paris-IV Sorbonne.