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Seuls les projets de Lyon et Strasbourg sont considérés comme "opérationnels" par le comité de sélection de l' "Opération campus", indique à l'AEF le ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, lundi 24 novembre 2008. Ils peuvent donc démarrer et leurs dotations financières sont "en cours de détermination". Elles devraient être connues dans le courant du mois de décembre (L'AEF n°311623).Les quatre autres projets de la première vague (Montpellier, Grenoble, Bordeaux et Toulouse) doivent...
Des sociétés de droit privé contrôlées par des acteurs publics et destinées à organiser, puis à financer la restructuration immobilière des campus bordelais: c'est ce que se proposent de créer la région Aquitaine, la CDC (Caisse des dépôts et consignations) et l'Université de Bordeaux. Un protocole d'accord a été signé en ce sens le 21 novembre 2008 par Alain Rousset, président du conseil régional, Philippe Braidy, directeur du développement territorial de la CDC, et Singaravelou, président du PRES, en ouverture de la première rencontre régionale AEF-CDC sur les universités, dans les locaux de l'université Bordeaux-I (L'AEF n°310748).
L'opération globale de développement immobilier du site universitaire de Strasbourg s'élève à 840 millions d'euros sur la période 2007-2013, indique à l'AEF Yves Larmet, vice-président chargé du patrimoine à l'université Strasbourg-I Louis-Pasteur, au nom des trois universités strasbourgeoises fusionnant au 1er janvier 2009. "Nous demandons à l'État 288 millions d'euros dans le cadre de l' 'opération campus' (L'AEF n°322130), ainsi que son soutien sur d'autres opérations contractualisées." Les collectivités (Département, Région et agglomération) sont déjà engagées à hauteur de 170 millions d'euros, à travers le CPER 2007-2013, le contrat triennal "Strasbourg capitale européenne" et diverses contributions directes et indirectes (bourses, logements, etc.).
440 millions d'euros, dont un tiers du conseil régional Languedoc-Roussillon, c'est ce que demandent les trois universités montpelliéraines et SupAgro pour le financement de leur dossier "opération campus", remis lundi 3 novembre 2008 au ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche. Baptisé "Université Montpellier Sud-de-France" (UMSF), le projet a été revu à la baisse de près de 200 M€ par rapport au montant annoncé de 623 M€ dans la note d'intention d'avril, afin de le "rendre compatible avec les contraintes financières imposées par le Ministère de l'Enseignement Supérieur et de la Recherche tout en maintenant l'ambition pédagogique et scientifique du projet et en privilégiant la vie de campus et les opérations de réhabilitation." Si le ministère accepte leurs propositions, les acteurs montpelliérains de l' "opération campus" prévoient un "démarrage opérationnel des projets début 2009".
"La Région Rhône-Alpes et la communauté d'agglomération du Grand-Lyon ont publiquement annoncé leur soutien financier au projet Lyon Cité Campus", indique le document rédigé par les acteurs lyonnais de l'enseignement supérieur et de la recherche transmis, lundi 3 novembre 2008, au ministère dans le cadre de l' "opération campus". L'aide de la Région s'élève à 85 millions d'euros tandis que le Grand-Lyon promet 32 millions d'euros, pour les deux sites (campus Mérieux et campus de La Doua) retenus par le comité d'évaluation (L'AEF n°314343). "Ce soutien permet, dans une approche PPP (partenariat public-privé), de réduire le loyer théorique de l'ordre de 12 millions d'euros annuellement, soit une économie de 300 millions sur le montant total des loyers liés à cette opération", explique par ailleurs ce document.
Les sénateurs de gauche ont déposé à leur tour jeudi 23 mars un recours auprès du Conseil constitutionnel contre la réforme des retraites adoptée lundi dernier par le Parlement. Ils critiquent notamment le véhicule législatif utilisé, à savoir une loi de financement rectificative de la Sécurité sociale, jugé "inapproprié" pour une réforme de cette importance. Et ensuite sur les leviers de procédure actionnés, articles de la Constitution (du 47-1 au 49.3) ou du règlement du Sénat qui ont permis d’accélérer les débats puis d’adopter la réforme sans vote à l’Assemblée nationale. Ils pointent notamment "une concentration" des "atteintes aux exigences de clarté et de sincérité du débat parlementaire.