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Le traitement de la maladie et la prise en charge psychologique devancent l'accompagnement des malades et de leur entourage parmi les priorités dans la lutte contre le cancer, illustre un sondage réalisé par LH2 pour la Ligue contre le cancer à l'occasion de la première "convention des Français face au cancer", organisée dimanche 23 novembre à Paris. Cette étude a été conduite par téléphone du 16 au 30 octobre auprès d'un échantillon de médecins généralistes, maires et chefs d'entreprise.
"Nous ne sommes pas encore en mesure d'évaluer précisément tous les engagements de la convention", a admis, vendredi 24 octobre 2008, Roselyne Bachelot-Narquin, ministre de la Santé, lors de la remise du rapport d'évaluation de la convention Aeras (pour "s'Assurer et Emprunter avec un Risque Aggravé de Santé"). Dix-huit mois après sa mise en place en janvier 2007, cette convention fait l'objet d'une évaluation à mi-parcours par une commission de suivi et de proposition présidée par le conseiller d'État Jean-Michel Belorgey. Dans son rapport, il apparaît que si "93% des demandes d'assurance présentées par des personnes présentant un risque aggravé de santé ont fait l'objet d'une proposition d'assurance couvrant au moins le risque décès" (83% pour les risques décès et perte totale et irréversible d'autonomie, ou PTIA, et 68% pour les risques décès, PTIA et invalidité, même partielle), la commission affirme qu'il "n'est pas possible de déterminer si ces couvertures assurantielles relatives à l'assurance décès seule ou à l'assurance décès et PTIA ont été considérées comme des garanties suffisantes par les établissements de crédit, au regard de la jurisprudence des règles de solvabilité et d'analyse de risque, pour se traduire par des offres de prêts".
"L'année 2007 a été marquée par une très forte sous-consommation des crédits destinés à la lutte contre le cancer", déplore le sénateur centriste Jean-Jacques Jégou, rapporteur spécial de la "Mission santé" de la Commission des finances du Sénat, dans un document rendu public vendredi 4 juillet 2008 dans le cadre du projet de loi de règlement des comptes et du rapport de gestion pour l'année 2007. Au total, 28,5 millions d'euros (sur 54 millions de crédits autorisés) n'ont pu être consommés l'an dernier.
Face au retentissement humain et économique du cancer, deuxième cause des décès tous âges confondus en France, la Mutuelle Bleue s'engage dans une démarche de fond avec le "Passeport pour la santé", a-t-elle annoncé jeudi 19 juin 2008. Pour mener à bien cette opération, la mutuelle s'est associée à l'Institut Gustave-Roussy, l'Institut national du cancer et le Réseau Nacre.
"Si je devais résumer l'appréciation de la Cour, je dirais que malgré les retards et les limites (...), le plan cancer a offert un cadre cohérent et joué un rôle de catalyseur. Ses objectifs ont été en bonne partie atteints: nous estimons qu'à la fin de 2007, un tiers des 70 mesures a été réalisé, un tiers l'a été modérément ou inégalement et le dernier tiers, peu ou pas du tout. Les inégalités géographiques demeuraient importantes à l'issue du plan mais leur réduction devrait se poursuivre. On ne peut qu'encourager les pouvoirs publics à poursuivre sur cette lancée. (...) Il faut donc que le plan soit prolongé". C'est ce qu'a déclaré le premier président de la Cour des comptes, Philippe Séguin, qui présentait ce matin, jeudi 12 juin 2008 un rapport public dressant bilan du plan cancer.
Roselyne Bachelot-Narquin, ministre de la Santé, estime que la généralisation des consultations d'annonce du cancer prévue dans le Plan cancer "reste encore beaucoup trop théorique". À l'occasion d'un colloque organisé jeudi 27 mars 2008 au ministère de la Santé sur "la vie deux ans après le diagnostic de cancer", la ministre a jugé "absolument nécessaire de veiller à l'effectivité des mesures du Plan 2003-2007" dont son ministère s'apprête à dresser un bilan détaillé.
La nomination "surprise", le 20 mai 2022, de Pap Ndiaye à la tête du ministère de l’Éducation nationale suscite de vives polémiques tant au sein de la classe politique que dans le milieu éducatif. L’arrivée d’un ministre issu du milieu académique est plutôt saluée par les acteurs enseignants et universitaires, et les syndicats l’assurent de leur "bienveillance". La plupart espèrent voir, dans ce profil de spécialiste de la lutte contre les discriminations, la possibilité de mettre la lutte contre les inégalités scolaires au centre des débats. Pour l’extrême-droite, c’est un "choix terrifiant".