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La ministre de la Santé, de la Jeunesse et des Sports et de la Vie associative, Roselyne Bachelot-Narquin a installé hier, lundi 8 décembre 2008, la commission présidée par Jean-Pierre Grünfeld (professeur de néphrologie à l'hôpital Necker, à Paris) chargée d'élaborer des recommandations pour la mise en place d'un nouveau plan cancer, le précédent plan sur ce thème portant sur la période 2003-2007. Dans son discours, la ministre a rappelé les "priorités" auxquelles la commission devra être "attentive": la recherche avec la création d'un institut thématique associant l'Inserm (Institut national de la santé et de la recherche médicale) l'INCa (Institut national du cancer), la qualité, la commission devant "s'assurer de la mise en place effective du système d'agrément des établissements de santé dans le domaine des traitements des cancers", la prévention, ou encore la politique de dépistage. A ce sujet la ministre rappelle que la participation aux opérations de dépistage du cancer du sein dépasse à peine 50% et 43% pour le dépistage du cancer colorectal: "encore trop peu".
Le service de presse de l'Élysée publie, mardi 21 octobre 2008, le courrier adressé le 15 octobre à Jean-Pierre Grünfeld, professeur de néphrologie à l'hôpital Necker (AP-HP), dans lequel Nicolas Sarkozy charge cet universitaire d'une "mission" visant à "élaborer des recommandations pour le futur plan" destiné à prendre le relais du "Plan cancer 2003-2007" lancé par Jacques Chirac. Ce premier plan répondait aux attentes des patients, de leurs proches, des soignants et des chercheurs, toutes exprimées lors des états généraux des patients en 1998 et du premier sommet mondial contre le cancer en 2000.
"Si je devais résumer l'appréciation de la Cour, je dirais que malgré les retards et les limites (...), le plan cancer a offert un cadre cohérent et joué un rôle de catalyseur. Ses objectifs ont été en bonne partie atteints: nous estimons qu'à la fin de 2007, un tiers des 70 mesures a été réalisé, un tiers l'a été modérément ou inégalement et le dernier tiers, peu ou pas du tout. Les inégalités géographiques demeuraient importantes à l'issue du plan mais leur réduction devrait se poursuivre. On ne peut qu'encourager les pouvoirs publics à poursuivre sur cette lancée. (...) Il faut donc que le plan soit prolongé". C'est ce qu'a déclaré le premier président de la Cour des comptes, Philippe Séguin, qui présentait ce matin, jeudi 12 juin 2008 un rapport public dressant bilan du plan cancer.
Roselyne Bachelot-Narquin, ministre de la Santé, estime que la généralisation des consultations d'annonce du cancer prévue dans le Plan cancer "reste encore beaucoup trop théorique". À l'occasion d'un colloque organisé jeudi 27 mars 2008 au ministère de la Santé sur "la vie deux ans après le diagnostic de cancer", la ministre a jugé "absolument nécessaire de veiller à l'effectivité des mesures du Plan 2003-2007" dont son ministère s'apprête à dresser un bilan détaillé.
Roselyne Bachelot, ministre de la Santé, a saisi le HCSP (Haut conseil de la santé publique) pour évaluer le plan cancer 2003-2007 "afin de valider les nouvelles orientations du gouvernement pour un nouvel élan de la lutte contre le cancer". Elle assistait, ce lundi 7 janvier 2008, à la première séance plénière du HCSP, installé officiellement le 14 mars 2007. Le HCSP doit également évaluer la loi de santé publique de 2004 ainsi que ses objectifs, et proposer les axes prioritaires pour la prochaine loi.
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