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« Pour un euro d'aide prise en charge par l'APA (allocation personnalisée d'autonomie), deux euros seraient supportés par la famille, l'entourage et les amis. Par conséquent, malgré l'accroissement de la part des financements publics dans la prise en charge de la dépendance, celle-ci est encore loin de couvrir l'ensemble du coût de la dépendance ». C'est le constat que dressent Bérengère Davin, Alain Paraponatis et Pierre Verger, tous trois chercheurs à l'Inserm et à l'Observatoire régional de santé de Paca, dans une étude sur les « déterminants et coûts monétaires de l'aide formelle et informelle reçue par les personnes âgées en domicile ordinaire ». Cette étude a été présentée mardi 17 mars 2009 au cours d'un séminaire organisé par l'Ined (Institut national d'études démographiques) sur le thème des transferts intergénérationnels.
Le gouvernement vient de faire connaître ses premières orientations dans l'optique la mise en place d'un "cinquième risque" sur la dépendance, deux mois après le lancement de la concertation sur le sujet. Elles continueront d'être débattues dans les prochains mois, Xavier Bertrand, le ministre du Travail, des Relations sociales, de la Famille et de la Solidarité, souhaitant avancer "sans précipitation" dans ce domaine. Une nouvelle loi sur ce "cinquième risque" ne verra donc pas le jour avant 2009, ce report de calendrier étant imposé par des difficultés de financement.
"La CNSA (Caisse nationale de solidarité pour l'autonomie) a le mérite d'exister", déclare le sénateur UMP de l'Oise Philippe Marini, ce mercredi 30 janvier 2008, devant un public de professionnels réunis par "Le Mensuel des maisons de retraite" pour débattre du cinquième risque. Cette réponse, ressentie par certains participants du colloque comme une volonté de "minimiser" cette institution présidée par Alain Cordier, les a d'autant plus surpris qu'en octobre dernier, la CNSA était parvenue à faire adopter par toutes les parties (représentants des établissements, organisations syndicales et associations de malades) un rapport qui semblait pouvoir servir de base à la construction d'un cinquième risque.
Dans une déclaration lue à l’issue d’une réunion au siège parisien de Solidaires dans la foulée de la 10e journée de mobilisation contre la réforme des retraites le 28 mars 2023, l’intersyndicale annonce la poursuite des grèves et des manifestations au niveau interprofessionnel avec un nouveau rendez-vous national programmé jeudi 6 avril. Cette décision intervient après la fin de non-recevoir adressée par l’exécutif à la demande de médiation réclamée par les syndicats pour tenter de trouver une issue au conflit dans le dialogue. Avec comme préalable la mise en suspens de la réforme prévoyant le recul de 62 à 64 ans de l’âge légal de départ à la retraite qui fait l’objet de plusieurs recours devant le Conseil constitutionnel. L’intersyndicale continue donc d’afficher son unité alors que, de l’aveu même de Philippe Martinez, une incertitude existe désormais sur la position qu’adoptera la CGT à l’issue de son congrès réuni actuellement à Clermont-Ferrand et devant se solder par le départ du leader de la centrale de Montreuil et la désignation d’une nouvelle direction confédérale.