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Les tests génétiques doivent rester "des actes de biologie médicale effectués sur la base d'une prescription médicale", leur utilité doit être évaluée dans chaque cas et leur "statut et leur "place" doivent être "discutés avec les patients et les personnes concernées". Ce sont les trois grands principes généraux d'action recommandés par l'Inserm (Institut national de la santé et de la recherche médicale) sur l'utilisation des tests génétiques dans un rapport rendu public aujourd'hui, vendredi 9 janvier 2009. L'institut a en effet effectué, à partir de la littérature existante, "une analyse des enjeux scientifiques, médicaux et sociétaux du développement de nouveaux tests génétiques et en particulier des tests de susceptibilité aux maladies multifactorielles", dans le domaine cardiovasculaire, du cancer, en pharmacogénétique ainsi que dans le cadre du diagnostic et du dépistage chez l'enfant ou en période anténatale. Cette expertise collective a été faite à la demande de la Cnamts (Caisse nationale d'assurance maladie des travailleurs salariés), "compte tenu des enjeux et de l'impact à venir des tests génétiques sur le système de soins".