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"Le CNRS propose, en accord avec la direction de l'Inserm, de co-piloter les 'instituts thématiques' [de l'Inserm] qui préfigurent les composantes d'une future organisation de concertation alliant biologie fondamentale et recherche de santé." C'est ce qu'indiquent les deux organismes, aujourd'hui, jeudi 29 mai 2008, suite à une rencontre entre leurs directions. Il s'agissait de "définir les bases d'une réponse commune à la demande de Valérie Pécresse, ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, pour une meilleure coordination de la recherche biomédicale en France" (L'AEF n°318039). "L'élaboration des contrats d'objectifs et de moyens, que ces deux organismes doivent signer avec l'État d'ici la fin de l'année 2008, sera l'occasion de définir plus précisément cette organisation", poursuivent les organismes.
"On ne touchera ni au périmètre du CNRS, ni aux statuts des personnels. En revanche, on ne peut plus se permettre de compétition stérile entre institutions. Catherine Bréchignac, présidente du CNRS, et André Syrota, directeur général de l'Inserm, travaillent ensemble à une vraie coordination" en sciences de la vie. C'est ce que déclare Valérie Pécresse, ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, aujourd'hui, vendredi 23 mai 2008, à l'issue d'une table ronde avec les acteurs de l'IUH (Institut universitaire d'hématologie) de l'université Paris-Diderot (Paris-VII), à l'hôpital Saint-Louis, à Paris. "Nous devons construire une vraie structure coopérative, globale, qui puisse faire face à la compétition internationale." Elle doit se construire entre le CNRS, l'Inserm, les agences, le CEA et l'Inra", poursuit-elle. Le pilotage en sera "conjoint".
Roselyne Bachelot-Narquin, ministre de la Santé, de la Jeunesse, des Sports et de la Vie associative, vient de créer un Comior (comité ministériel d'orientation de la recherche) au sein de son ministère, indique ce dernier, aujourd'hui, jeudi 22 mai 2008. Cette action s'inscrit dans "le cadre de la réorganisation de la politique de recherche en France, qui touche notamment la recherche biomédicale et en santé".
L'objectif de la réorganisation de l'Inserm en instituts "est d'améliorer la visibilité de la recherche française en biologie et santé, de mieux contribuer à l'animation de la communauté scientifique concernée et de rendre plus efficaces ses relations avec l'ensemble des organismes impliqués". C'est ce que déclare André Syrota, directeur général de l'Inserm, aujourd'hui, vendredi 28 mars 2008, suite à l'adoption de son "schéma de réorganisation des services centraux" de l'organisme, hier (L'AEF n°326106).
Le projet de "schéma de réorganisation des services centraux de l'Inserm" vient d'être adopté par le conseil d'administration de l'organisme de recherche, aujourd'hui, jeudi 27 mars 2008. Il prévoit notamment de le réorganiser en huit instituts thématiques, à compter du 28 avril 2008 (L'AEF n°325348).
Dans une déclaration lue à l’issue d’une réunion au siège parisien de Solidaires dans la foulée de la 10e journée de mobilisation contre la réforme des retraites le 28 mars 2023, l’intersyndicale annonce la poursuite des grèves et des manifestations au niveau interprofessionnel avec un nouveau rendez-vous national programmé jeudi 6 avril. Cette décision intervient après la fin de non-recevoir adressée par l’exécutif à la demande de médiation réclamée par les syndicats pour tenter de trouver une issue au conflit dans le dialogue. Avec comme préalable la mise en suspens de la réforme prévoyant le recul de 62 à 64 ans de l’âge légal de départ à la retraite qui fait l’objet de plusieurs recours devant le Conseil constitutionnel. L’intersyndicale continue donc d’afficher son unité alors que, de l’aveu même de Philippe Martinez, une incertitude existe désormais sur la position qu’adoptera la CGT à l’issue de son congrès réuni actuellement à Clermont-Ferrand et devant se solder par le départ du leader de la centrale de Montreuil et la désignation d’une nouvelle direction confédérale.