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"Veut-on un lycée qui mène vraiment une grande majorité des élèves au niveau du baccalauréat général ? C'est ce qui est sous-entendu à travers l'objectif de porter 80 % d'une classe d'âge en terminale, sachant qu'on atteint aujourd'hui les 70 %, toutes voies confondues (générale, technologique et professionnelle). Veut-on maintenir cet objectif ou le faire évoluer ? D'autre part, qu'assigne-t-on comme finalité à la voie technologique, en termes de poursuite d'études ?", interroge Richard Descoings, pilote de la mission de concertation sur la réforme du lycée (L'AEF n°302529), lors d'une table-ronde élargie à une centaine de membres de la communauté éducative, ce lundi 2 mars 2009 au lycée Saint-Exupéry de Fameck (Moselle).
Partisan de la "réforme permanente" plutôt que du "grand soir", Richard Descoings, nouveau pilote de la réforme du lycée, se donne huit mois pour "trouver la conciliation nécessaire entre toutes les parties prenantes". Son objectif n'est pas de provoquer "des manifestations pour" mais "un scepticisme bienveillant", explique-t-il ce mardi 20 janvier 2009 devant une centaine de chefs d'établissement de l'académie de Versailles réunis par le recteur pour parler, entre autres, de la réforme du lycée.