En plus des cookies strictement nécessaires au fonctionnement du site, le groupe AEF info et ses partenaires utilisent des cookies ou des technologies similaires nécessitant votre consentement.
Avant de continuer votre navigation sur ce site, nous vous proposons de choisir les fonctionnalités dont vous souhaitez bénéficier ou non :
« Si on veut que les gestionnaires restent fonctionnaires d'État et membres de l'équipe de direction, il faut faire évoluer leur métier et leurs missions. Il faut se demander quels sont les besoins de l'Éducation nationale aujourd'hui et avoir une réflexion non seulement sur le métier de gestionnaire, mais sur l'EPLE », déclare Jean-Michel Alfandari, secrétaire général de l'académie de Créteil, devant l'assemblée de l'Aji (Association des journées de l'intendance), réunie en Sorbonne à Paris pour son trentième anniversaire, vendredi 12 juin 2009 (L'AEF n°325662). Depuis la loi de décentralisation de 2004, les gestionnaires d'EPLE, restés à l'Éducation nationale, encadrent les TOS, transférés aux collectivités. Une position inconfortable, à l'origine selon Jean-Yves Rocca, secrétaire général d'Administration&Intendance-Unsa, d'un véritable « malaise ».
« La réforme du cadre budgétaire de l'EPLE est un chantier majeur pour nous : j'espère qu'il aboutira en 2010 (L'AEF n°401411). Mais une fois le cadre budgétaire tracé, il faudra encore passer aux applications informatiques, ce qui risque d'être long », prévient Michel Dellacasagrande, directeur des affaires financières du ministère de l'Éducation nationale, devant l'assemblée de l'AJI (association des Journées de l'Intendance), réunie en Sorbonne à Paris pour son trentième anniversaire, vendredi 12 juin 2009. « Le budget est un acte essentiel de la vie d'un EPLE. Aujourd'hui les budgets sont trop compliqués, souvent illisibles : ils doivent être le résultat d'une démarche démocratique, être compris de tous », estime Michel Dellacasagrande.