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La consommation moyenne d'énergie du parc universitaire français est de 300 kWh/m2/an d'énergie primaire et les émissions de CO2 de 31 kg/m2/an. Cela correspond à la classe D de l'étiquette énergétique des bâtiments publics, qui va de A (moins de 50 kWh/m2/an) à G (plus de 750 kWh/m2/an). C'est ce qu'annoncent la Caisse des dépôts et la CPU (Conférence des présidents d'université), jeudi 28 mai 2009. « Nous sommes tous au même niveau de médiocrité. Nous avons de fortes marges de manoeuvre », commente Sylvie Faucheux, présidente de l'université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines, responsable du groupe de travail sur le développement durable de la CPU, et présidente de Fondaterra.
La Caisse des dépôts et consignations prévoit de rendre publique, en « avril 2009 », une cartographie nationale, sur trois ans, des performances énergétiques et des émissions de GES (gaz à effet de serre) du parc immobilier universitaire. « Celui-ci représente 18 millions de m2 SHON (surface hors oeuvre nette), dont 4 millions de m2 alloués aux résidences étudiantes », indique Blaise Desbordes, directeur de projet développement durable à la CDC, mercredi 17 décembre 2008. Il s'exprime lors des Rencontres régionales universités, organisées par la CDC et l'agence de presse AEF (dont l'AEF est un département) à l'université Versailles-Saint-Quentin-en-Yvelines. Ces rencontres portaient sur « le rôle des universités dans le développement durable des territoires » (L'AEF n°300008).