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La CJC (Confédération des jeunes chercheurs) dénonce la manière dont des universités licencient leurs doctorants, mardi 2 juin 2009. La CJC rapporte que, chaque année, elle est contactée par des chercheurs doctorants dont le contrat est rompu à l'initiative de l'établissement pour lequel ils travaillent. Pour la confédération, « les employeurs ne prennent pas pleinement en considération la nature professionnelle du doctorat, et ne permettent pas au chercheur doctorant de bénéficier des droits qui sont accordés aux autres personnels de l'établissement ». L'employeur « manque de considération à l'égard des chercheurs doctorants et ne propose ni procédure de médiation par un organe consultatif paritaire, ni garantie de recours à son employé », déplore la CJC.
La CJC dénonce les « conditions de protection sociale proposées par Égide, l'association parapublique dépendant du ministère des Affaires étrangères et européennes ». « Les jeunes chercheurs étrangers couverts par le régime de protection sociale Égide ne se voient pas attribuer de carte Vitale, ni de numéro de sécurité sociale, ce qui transforme leur accès aux soins en parcours du combattant administratif », constate la CJC (Confédération des jeunes chercheurs) dans un communiqué du 13 mars 2009.