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Les membres de la cellule de pilotage du Fiso (Fonds d'investissement social) réunis mardi 2 juin 2009 sous la présidence de Laurent Wauquiez, secrétaire d'Etat chargé de l'Emploi, « se sont accordés sur une grille d'analyse commune reposant sur quatre critères » de soutien des projets par le fonds, indique, ce soir, un communiqué du secrétariat d'État. Ces critères - « qualité du partenariat, priorisation des actions et des bénéficiaires, sécurisation des parcours professionnels et qualité du pilotage et de l'évaluation » - « seront diffusés à l'ensemble des relais de l'État (Préfets, DRTEFP) et des partenaires sociaux (fédérations professionnelles, Opca…) pour être utilisés de façon conjointe.
La deuxième réunion de la cellule de pilotage du Fiso (Fonds d'investissement social) est convoquée mardi 2 juin 2009. Ses membres - représentants de l'État et des partenaires sociaux - examineront à cette occasion une nouvelle note relative aux critères de soutien des projets par le Fonds, dont l'AEF s'est procuré une copie. Les principes présidant à ces critères sont globalement inchangés par rapport au document qui avait fait débat lors de la précédente réunion le 28 avril dernier, les organisations syndicales ayant demandé un certain nombre de clarifications (L'AEF n°298892). Dans sa nouvelle version, la note précise les modalités de fonctionnement du Fonds et propose notamment « des modalités d'utilisation et de diffusion de ces critères » par le Fiso et ses membres.
La cellule de pilotage du Fiso (Fonds d'investissement social), composée de représentants de l'État et des partenaires sociaux, s'est réuni pour la première fois mardi 28 avril 2009, en présence notamment de Laurent Wauquiez, secrétaire d'État chargé de l'Emploi, et de Martin Hirsch, haut commissaire à la Jeunesse. Elle n'a pas réussi à s'accorder sur les « critères de soutien aux projets par le fonds ». « Il a été impossible de s'entendre », assurent les représentants de la CGT, Maurad Rabhi et Éric Aubin, qui dénoncent une « vraie cacophonie » quant au fonctionnement et aux objectifs même du Fiso. Favorables à une véritable procédure de « labellisation » des projets qui permette ensuite de débloquer les fonds, les représentants de la CGT craignent d'être cantonnés au rôle de « chambre d'enregistrement » de tous les accords qui seraient conclus sur le terrain ou dans les branches avant de leur être soumis. « Il est hors de question d'être un faire valoir et de perdre notre temps », proteste Maurad Rabhi. Si la prochaine séance ne permet pas de clarifier ces points, la CGT « se réserve le droit de ne plus y participer ».