En plus des cookies strictement nécessaires au fonctionnement du site, le groupe AEF info et ses partenaires utilisent des cookies ou des technologies similaires nécessitant votre consentement.
Avant de continuer votre navigation sur ce site, nous vous proposons de choisir les fonctionnalités dont vous souhaitez bénéficier ou non :
Les présidents de chambre de métiers et de l'artisanat devraient valider « le concept d'université des métiers et de l'artisanat » lors de leur assemblée générale qui se tiendra à Paris les mardi 9 et mercredi 10 juin 2009. C'est ce qu'indique le président de l'APCM (Assemblée permanente des chambres de métiers), Alain Griset, lors d'une rencontre avec la presse, mardi 19 mai 2009. Selon lui, toutes les régions ne se doteront par nécessairement d'un établissement physique. En revanche, chaque niveau régional devra proposer un cursus de formation complet conduisant aux métiers de l'artisanat. Pour ce faire, des partenariats seront conclus localement avec les établissements universitaires, dans le prolongement d'accords déjà signés avec le Cnam (Conservatoire national des arts et métiers) et le réseau des IUT (Instituts universitaires de technologies).
« En aucun cas, naturellement, il ne faut porter atteinte à l'artisanat » avec le statut de l'auto-entrepreneur, estime le président de la République, jeudi 14 mai 2009, à l'occasion d'une réunion d'auto-entrepreneurs à l'Élysée. Nicolas Sarkozy annonce qu'il recevra « les artisans » pour trouver avec eux des solutions pour éviter que ce nouveau régime ne constitue une concurrence déloyale. Le chef de l'État envisage même « un ajustement du régime » si nécessaire, après évaluation.
Après la présentation du projet de loi "plein emploi" au conseil des ministres le 7 juin, le dossier législatif du texte est mis en ligne, avec l’étude d’impact et l’avis du Conseil d’État. Le projet de loi prévoit que le gouvernement détermine une stratégie nationale de l’accueil du jeune enfant et des objectifs nationaux en matière de formation professionnelle. Il conforte le rôle des communes en leur confiant la qualité d’autorité organisatrice de l’accueil du jeune enfant, avec un socle de compétences renforcé - dont une partie, concernant notamment le recensement de l’offre et l’information des parents, est obligatoire y compris pour les plus petites communes.