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Jean-Louis Borloo annonce la création « sous les quinze jours » d'un poste de « secrétaire d'État », de « haut commissaire », ou de « commissaire » en charge des « technologies vertes », mercredi 24 juin 2009, à l'occasion de la présentation de sa nouvelle équipe (L'AEF n°295371). Ce portefeuille est désormais intégré à son titre officiel de « ministre de l'Écologie, de l'Énergie, du Développement durable et de la Mer, en charge des technologies vertes et des négociations sur le climat ». Il sera incarné par « un homme ou une femme de dimension internationale, capable de faire de la veille technologique », précise Jean-Louis Borloo. Cette personne travaillera sur « la croissance verte, les nouvelles technologies vertes, le développement des produits décarbonés, des énergies renouvelables, etc. », ajoute son cabinet.
FNE et le WWF France se disent « satisfaits » de la confirmation de Jean-Louis Borloo à la tête du ministère du Développement durable, suite au remaniement ministériel annoncé mardi 23 juin 2009 (L'AEF n°295371). Jean-Louis Borloo devient, en effet, « ministre d'État, ministre de l'Écologie, de l'Énergie, du Développement durable et de la Mer, en charge des technologies vertes et des négociations sur le climat ». Le porte-parole de FNE (France nature environnement), Arnaud Gossement, estime que Jean-Louis Borloo « suit les dossiers depuis 2007, [et qu']il aurait été compliqué de changer d'équipe dans la dernière ligne droite ». Le directeur général de WWF France, Serge Orru ajoute, quant à lui, que Jean-Louis Borloo doit « persévérer et continuer son travail à la veille de Copenhague ».