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Un arrêté paru au BO du ministère de la Santé en date du 15 août 2009 précise les conditions de mise en place du stage de médecine générale au cours du deuxième cycle des études médicales. Ce stage est déjà obligatoire depuis 1997.
« L'arrivée massive de nouveaux internes pour la rentrée prochaine ne pourra pas être absorbée par tous les départements universitaires de médecine générale (AEF n°298918). Alors que les besoins en enseignants sont déjà criants partout, seules huit créations de postes d'enseignants associés sont prévues par le ministère de l'Enseignement supérieur ce qui est ridicule dans ce contexte », s'indigne le Snemg, lundi 13 juillet 2009.
Le texte du projet de loi HPST élaboré par la CMP (commission mixte paritaire) est soumis au vote de l'Assemblée nationale mardi 23 juin 2009, et à celui du Sénat le 24 juin. Ce texte, sur lequel l'urgence a été déclarée, a été adopté par les députés le 18 mars puis, le 5 juin, par les sénateurs qui lui ont apporté plusieurs modifications. Ainsi, certaines dispositions adoptées par l'Assemblée nationale ne figurent plus dans le texte de la CMP, notamment l'article 15 ter selon lequel le deuxième cycle des études médicales comprend un enseignement portant spécifiquement sur la contraception et l'interruption volontaire de grossesse, disposition supprimée par les sénateurs (L'AEF n°305084).
Dans une déclaration lue à l’issue d’une réunion au siège parisien de Solidaires dans la foulée de la 10e journée de mobilisation contre la réforme des retraites le 28 mars 2023, l’intersyndicale annonce la poursuite des grèves et des manifestations au niveau interprofessionnel avec un nouveau rendez-vous national programmé jeudi 6 avril. Cette décision intervient après la fin de non-recevoir adressée par l’exécutif à la demande de médiation réclamée par les syndicats pour tenter de trouver une issue au conflit dans le dialogue. Avec comme préalable la mise en suspens de la réforme prévoyant le recul de 62 à 64 ans de l’âge légal de départ à la retraite qui fait l’objet de plusieurs recours devant le Conseil constitutionnel. L’intersyndicale continue donc d’afficher son unité alors que, de l’aveu même de Philippe Martinez, une incertitude existe désormais sur la position qu’adoptera la CGT à l’issue de son congrès réuni actuellement à Clermont-Ferrand et devant se solder par le départ du leader de la centrale de Montreuil et la désignation d’une nouvelle direction confédérale.