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Pour « augmenter l'efficacité de la politique des pôles de compétitivité », l'OCDE (Organisation de coopération et de développement économiques) considère que la France aurait intérêt à « conditionner le maintien des aides publiques aux résultats, notamment en créant des mécanismes d'arrêt des financements en cas de manquement à des objectifs de performance prédéterminés à l'avance ». Telle est l'une des cinq « recommandations » en matière de recherche et d'innovation que le département des affaires économiques de l'OCDE émet dans un « document de travail » consacré au « défi du redressement de la compétitivité française », publié le 6 août 2009.
Avec 2,1% de son PIB consacré à la R&D en 2005, la France fait partie des "pays les plus engagés de l'UE dans la recherche", après les pays nordiques (entre 2,5% et 3,9%), l'Allemagne (2,5%) et l'Autriche (2,4%) et juste devant le Royaume-Uni (1,8%). C'est le classement établi par l'OCDE dans sa note de synthèse sur la science, la technologie et l'industrie pour la France, tirée du tableau de bord 2007. La note souligne toutefois que la progression des dépenses globales de R&D depuis 2000 ne s'est établie qu'à 1,2% par an, ce qui "place la France parmi les derniers du classement OCDE", la moyenne de l'UE se situant aux alentours de 3%.
Les députés ont adopté l'article 39 du PLF 2008 réformant le CIR, vendredi 16 novembre 2007 dans la soirée. Les entreprises investissant jusqu'à 100 millions d'euros dans la recherche bénéficieront d'un crédit d'impôt de 30% de ces dépenses, et de 5%, si elles dépensent plus de 100 millions.
Voici une sélection des brèves fonction publique de la semaine du 20 mars 2023 :