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Le Greco (groupe d'États contre la corruption) a célébré ses dix ans lors de la conférence du lundi 5 octobre 2009 à Strasbourg, qui a rassemblé des représentants des États membres du Conseil de l'Europe (y compris plusieurs ministres de la Justice et secrétaires d'État) et des organisations internationales, afin d'examiner les enjeux et les réalisations dans le domaine de la lutte contre la corruption en Europe.
L'ONG Global Witness appelle le gouvernement américain à revoir sa réglementation bancaire. Spécialisée dans la lutte contre la corruption, elle témoignait, mardi 19 mai 2009, devant la Chambre des représentants, à la commission des services financiers, au sujet des grandes banques mondiales, qui facilitent la corruption dans les pays pauvres. Quelques-unes des plus grandes banques, parmi lesquelles Barclays et Citibank, ont ainsi « favorisé la corruption et par conséquent empêché le développement de certains pays les moins bien gouvernés du monde », selon elle.
Vingt-quatre « directeurs généraux de certaines des plus importantes entreprises mondiales ont appelé les gouvernements à mettre en oeuvre de façon plus effective et convaincante la Convention des Nations unies contre la corruption », dans une lettre ouverte envoyée à Ban Ki-moon, secrétaire général des Nations unies, le 1er mai 2009. C'est ce qu'indique l'ICC (Chambre de commerce internationale) qui rend publique la lettre, mercredi 6 mai 2009. S'agissant des entreprises françaises, la lettre a été signée par Louis Gallois, PDG (président directeur général) d'EADS et Gérard Mestrallet, PDG de Gaz de France Suez. L'ICC, le réseau Transparency International, le Pacte mondial des Nations unies et l'Initiative de partenariat contre la corruption du Forum économique mondial sont à l'origine de la rédaction de ce document. La Convention des Nations unies contre la corruption a été adoptée en décembre 2003. Signée par 140 pays et ratifiée par 136, la Convention tiendra sa prochaine Conférence des parties à Doha (Qatar) en novembre 2009.
Le nouveau guide Resist (Resisting extortions and solicitations in international transactions - Résister aux extorsions et sollicitations dans les transactions internationales) « sensibilise les employés sur la façon d'éviter les tentatives de corruption et établit des règles pratiques visant à répondre, avec le plus d'efficacité et d'éthique possible, lorsque ces tentatives ne peut être évitées ». Le guide, publié en deux parties, est conçu comme un « outil pouvant être utilisé lors des sessions de formation concernant l'éthique et l'intégrité du personnel ». La première partie, traitant des situations d'appels d'offres, a été publié lundi 17 mars 2009. Il est rédigé par l'ICC (Chambre de commerce internationale), en partenariat avec la coalition contre la corruption Transparency International, le Pacte mondial des Nations unies, et le Forum économique mondial.
« S'il est vrai que les initiatives volontaires, qui permettent aux banques d'afficher leur sens de l'éthique, sont d'une certaine utilité, notamment en matière d'élaboration de normes, le présent rapport révèle qu'elles ne sont pas particulièrement concluantes. » Telle est la principale conclusion du rapport « Sans vigilance - Les banques et leurs relations d'affaires avec des régimes corrompus », publié par l'ONG spécialisée dans la lutte contre la corruption, Global Witness, mercredi 11 mars 2009.
La société Ethics SA, créée en 2007, annonce, le 28 novembre 2008, le lancement de la commercialisation à grande échelle de la norme « Ethics », accréditée par l'Isas (services internationaux de normalisation et d'accréditation). Cette nouvelle possibilité de certification vise à terme à devenir « une certification internationalement reconnue », selon la société Ethics, de manière à limiter l'exposition des entreprises aux risques « de nature criminelle et frauduleuse ». La norme fait appel à un « réseau d'investigation privé », composé « d'anciens policiers, de magistrats, de spécialistes de l'information économique », et d'un « comité scientifique international » indépendant, composé de 6 professeurs et docteurs « non rémunérés par Ethics SA ».
« Des mécanismes anticorruption doivent être intégrés dans les procédures de tout futur système » international de lutte contre le réchauffement climatique, revendique l'ONG Transparency international, dimanche 2 novembre 2008. Cette association internationale de lutte contre la corruption réunissait ses sections nationales à Athènes du 30 octobre au 2 novembre, pour sa treizième assemblée générale annuelle. « 1300 personnes de 135 pays » s'y sont retrouvées sur le thème : « corruption et développement durable ».
Voici une sélection des brèves fonction publique de la semaine du 20 mars 2023 :