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L'école primaire des Rêpes à Vesoul (Haute-Saône) a décidé de reconduire cette année la semaine de quatre jours et demi expérimentée l'an passé. Elle se base pour cela sur les résultats d'une évaluation menée par Dominique Soriano, secrétaire du RRS de Vesoul.
Près d'un enfant de primaire sur deux (44 %) aurait bénéficié l'an passé des deux heures de soutien individualisé selon un sondage BVA réalisé pour la Peep en septembre 2009. 86 % des parents jugent d'ailleurs cette mesure « plutôt efficace ».
« Nous avons voulu laisser les conseils d'école et les communautés éducatives décider de faire la semaine de quatre jours ou de quatre jours et demi », déclare Luc Chatel, ministre de l'Éducation nationale, en marge d'un déplacement consacré à la scolarisation des enfants handicapés à Évreux (Eure), jeudi 10 septembre 2009. « Faisons confiance aux équipes locales, laissons-les décider. Je suis attaché à ce que ce soit les écoles qui décident. Le temps où tout se décide au 110 rue de Grenelle est révolu. »
La ville de Lille abandonne sa proposition d'ouvrir les écoles le mercredi matin pour restaurer une semaine de quatre jours et demi, après une série de dix réunions avec les enseignants et les parents d'élèves. « Les parents sont déjà organisés le mercredi et les enseignants nous ont dit qu'ouvrir ce jour-là ne réglerait aucun problème », constate Martine Aubry, maire de Lille, lors du conseil municipal du lundi 18 mai 2009. « Ils nous ont plutôt demandé de nous battre pour restaurer le samedi matin », affirme-t-elle.
« Quelles sont les conditions les plus favorables pour permettre la réussite de tout enfant à Mulhouse ? » : c'est pour répondre à cette question que l'équipe du maire Jean-Marie Bockel, également secrétaire d'Etat à la Défense et aux Anciens combattants, organise des « assises de l'éducation », du 9 avril au 5 juin 2009. L'objectif de ces rencontres est de dégager des alternatives à la semaine de 4 jours, mise en oeuvre en septembre dernier suite à la suppression du samedi matin. « La formule retenue en début d'année [avec deux heures d'aide individualisée réparties sur quatre matins] n'avait rien de définitif », rappelle l'adjointe à la jeunesse et à l'éducation Chantal Risser (Nouvelle gauche). De fait, « l'inspecteur d'académie nous avait accordé la possibilité de l'expérimenter cette année, et de prévoir une concertation en 2009 ».
Les enseignants sont en grande majorité insatisfaits de la place de l'aide personnalisée, organisée deux soirs par semaine dans 60 % des écoles, à la différence des familles, qui approuvent les horaires adoptés, selon un premier bilan mené à « mi-parcours » par l'inspection académique du Maine-et-Loire, à partir de mi-janvier 2009.
Les mesures sociales du projet de loi "portant mesures d’urgence pour la protection du pouvoir d’achat", soumises à la consultation des partenaires sociaux dans le cadre de la CNNCEFP, ne convainquent pas la CFE-CGC et la CFTC. Les deux confédérations s’inquiètent en particulier, dans deux communiqués distincts publiés jeudi 30 juin 2022, du choix fait par l’exécutif de privilégier des dispositifs d’exonération de cotisations sociales, au détriment du système de protection sociale. Elles jugent insuffisantes les mesures visant à revaloriser les salaires.