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En Australie, le Sénat à majorité conservatrice a rejeté, mercredi 2 décembre 2009, le projet de législation sur le climat défendu par le gouvernement travailliste. Le parti conservateur National Party of Australia se félicite d'avoir « tué » le projet. Le Parti libéral quant à lui se dit « satisfait » que « le peuple australien ait été sauvé d'une taxe écrasante ». Le texte avait été une première fois repoussé en août dernier (L'AEF n°294002).
« L'Inde est prête à accepter un objectif mondial ambitieux de réduction des émissions [de gaz à effet de serre] ou de limitation de l'augmentation de la température, mais cela doit s'accompagner d'un principe de partage équitable du fardeau », indique Manmohan Singh, le Premier ministre indien, dans un discours prononcé lors du sommet du Commonwealth, à Port d'Espagne (Trinité-et-Tobago), vendredi 27 novembre 2009. Ce sommet a lieu quelques jours avant le sommet sur le climat de Copenhague, organisé par les Nations unies du 7 au 18 décembre 2009. Il réunit 53 anciennes colonies et protectorats de l'empire britannique, dont certains pays développés membres de l'annexe I du protocole de Kyoto comme le Canada, la Nouvelle-Zélande et l'Australie, des pays émergents comme l'Afrique du Sud et l'Inde ainsi que de nombreux pays d'Afrique, des États insulaires comme les Maldives et des pays peu avancés comme le Bangladesh. Ces États représentent un tiers de la population mondiale.
La Corée du Sud annonce un objectif de réduction de 30 % de ses émissions de gaz à effet de serre par rapport au niveau « business as usual » prévu pour l'année 2020, indique le président de la République de Corée, Lee Myung-bak, mardi 17 novembre 2009, à l'issue d'une réunion de son cabinet. Cet objectif est le plus ambitieux des trois scénarios étudiés jusqu'à présent, précise la présidence. Il équivaut à une réduction de 4% des émissions d'ici 2020 par rapport au niveau de 2005.
« Nous proposons de réduire entre 36,1 et 38,9 % les émissions de GES (gaz à effet de serre) » par rapport au niveau prévu au Brésil en 2020, soit une réduction de « près de 565 millions de tonnes équivalent carbone », déclare Dilma Rousseff, chef de la Maison civile, équivalent du Premier ministre, du Brésil, lors d'une conférence de presse à Paris, aux côtés du président brésilien Lula Da Silva et du président français Nicolas Sarkozy, le samedi 14 novembre 2009. Le ministre brésilien de l'Environnement avait annoncé, la veille, à Sao Paulo (Brésil), ces objectifs, faisant ainsi du Brésil le premier pays émergent à annoncer un engagement chiffré de réduction des émissions de GES.
La Nouvelle-Zélande a annoncé, lundi 10 août 2009, ses objectifs chiffrés de réduction de GES (gaz à effet de serre), dont la baisse variera « entre 10 et 20 % d'ici 2020 par rapport au niveau de 1990, selon la teneur de l'accord obtenu à Copenhague » en décembre 2009. Cette déclaration a été faite à l'occasion de l'ouverture d'une nouvelle session de négociations (L'AEF n°294285) sur les changements climatiques à Bonn (Allemagne), sous l'égide de la Ccnucc (Conférence cadre des Nations unies sur les changements climatiques).
Voici une sélection des brèves fonction publique de la semaine du 20 mars 2023 :