En plus des cookies strictement nécessaires au fonctionnement du site, le groupe AEF info et ses partenaires utilisent des cookies ou des technologies similaires nécessitant votre consentement.
Avant de continuer votre navigation sur ce site, nous vous proposons de choisir les fonctionnalités dont vous souhaitez bénéficier ou non :
« Nous souhaitons que les partenaires sociaux demeurent des acteurs essentiels de la politique du logement social dans notre pays », assure Benoist Apparu, secrétaire d'État chargé du Logement et de l'Urbanisme, en clôture du conseil d'administration de l'UESL, mercredi 2 décembre 2009. A cette fin, le gouvernement veillera « évidemment à assurer la pérennité » du mouvement lors de la renégociation de la convention triennale entre l'UESL (bientôt Action logement) et l'État, précise-t-il, en réponse à Jérôme Bédier, le président de l'Union qui lui a fait part, quelques minutes plus tôt, des inquiétudes du réseau. Pour l'heure, Benoist Apparu qui félicite le 1 % logement pour la rapidité avec laquelle il a engagé sa réforme, souligne quatre défis « à relever ensemble » : en particulier la mise en place de la GRL début 2010 et le regroupement des SA d'HLM (regroupées sous l'appellation ESH-entreprises sociales pour l'habitat) que le secrétaire d'État veut impulser l'an prochain.
Regrouper les ESH, à l'instar des organismes collecteurs, demeure « une priorité » pour Benoist Apparu, secrétaire d'État chargé du Logement et de l'Urbanisme (AEF Habitat et Urbanisme n°287151). « Le problème est bien moins le manque de logement que sa mauvaise répartition, à travers des zones plus ou moins tendus. » Il faut « mutualiser les fonds propres, étendre les territoires sur lesquels opèrent les ESH, déplacer la capacité à investir » explique à AEF Habitat et Urbanisme, Benoist Apparu qui a « longuement évoqué » le sujet, vendredi 20 novembre, lors d'un déplacement à Marseille devant le CRH (conseil régional de l'habitat).
L'Ademe (Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie), la DGALN (Direction générale de l'aménagement, du logement et de la nature du ministère du Développement durable) ainsi que l'association Effinergie ont présenté l'Observatoire bâtiment basse consommation, qui prend la forme d'un site internet, à l'occasion des rencontres de la performance énergétique à Paris, mercredi 14 octobre 2009. Le label BBC (bâtiment basse consommation), crée en 2007, fixe un objectif de consommation maximale pour les constructions neuves à 50 kilowattheures d'énergie primaire par mètre carré et par an pour le chauffage, le rafraîchissement, la ventilation, l'eau chaude sanitaire, les auxiliaires de chauffage et l'éclairage.