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Éric Godelier, président du département des humanités et sciences sociales de l'École polytechnique et signataire de l'appel de l'APHG pour le maintien d'un enseignement obligatoire d'histoire-géographie en terminale scientifique, « fait partie des gens dont le nom a été avancé par l'Inspection générale de STG pour participer au groupe de travail sur les enseignements d'exploration » de la future seconde, indique à AEF le directeur de cabinet de Luc Chatel, jeudi 17 décembre 2009. « Son nom a été proposé mais n'a finalement pas été retenu. Mais cela n'a rien à voir avec la pétition », précise-t-il. Quand la liste définitive des membres des groupes d'experts sera diffusée, « vous verrez que les groupes sont très équilibrés », ajoute le directeur de cabinet.
« La force du projet de réforme du lycée, c'est sa cohérence pédagogique », assure l'entourage du ministre de l'Éducation nationale, mercredi 9 décembre 2009. En pleine polémique sur la suppression de l'histoire-géographie des enseignements obligatoires de terminale S, et à la veille d'un CSE consacré à la réforme du lycée l'entourage du ministre se dit « serein », et ne compte pas revenir sur cette disposition. L'Élysée soutient la mesure : « Nous connaissons la sensibilité de l'association des historiens-géographes… », assure l'entourage de Nicolas Sarkozy. « Il faut replacer cette mesure dans l'économie générale de la réforme : il faut dire et répéter que l'histoire-géo sort renforcée de la réforme », affirme l'Élysée. « Il ne faut pas lâcher là-dessus ! ».