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« L'État est pleinement dans son rôle de représentant de l'intérêt général lorsqu'il donne pour objectif à toutes les formations supérieures d'accueillir une part de boursiers proche de la moyenne nationale », estime le SNPDEN-Unsa dans un communiqué diffusé jeudi 7 janvier 2010 alors que la prise de position de la CGE (Conférence des grandes écoles) contre la mise en place de « quotas » de boursiers dans ses établissements suscite de nombreuses réactions (AEF n°278623).
« Nous regardons le dispositif législatif qui existe, il y a une loi qui a été votée en 2001 et qui prévoit que les jeunes filles mineures puissent avoir accès à la contraception. Simplement, le décret d'application n'a pas encore été pris. Alors nous y réfléchissons et nous travaillons dessus avec Roselyne Bachelot [ministre de la Santé] (…) Mais rien n'est fait », déclare Luc Chatel, interrogé mardi 5 janvier 2009 à 8h15 au micro de France Info sur la préparation d'un texte permettant aux jeunes filles mineures de « consulter gratuitement et anonymement un médecin » afin d'avoir accès à la contraception. Le ministre de l'Éducation nationale indique que cette question qui « dépasse largement le champ de l'Éducation nationale », fait également l'objet d'un travail avec Nadine Morano, secrétaire d'État chargée de la Famille.
« Cette méthode d'interpellation publique n'est pas la bonne », estime le 4 septembre 2009 le SNPDEN-Unsa après les déclarations de Valérie Pécresse, ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, invitant le 1er septembre 2009 au micro de RTL la trentaine de proviseurs qui n'atteindraient pas les 30 % d'élèves boursiers en classes préparatoires, à être reçus dans son ministère, afin d' « être accompagnés », et de « s'aligner sur les autres lycées ». Le SNPDEN affirme avoir « demandé des explications auprès du cabinet de Valérie Pécresse sur le sens exact de cette démarche et de 'l'accompagnement' qui doit suivre ». « La démocratisation de l'enseignement supérieur ne saurait être le prétexte à des évaluations sur des critères sommaires », estime-t-il.