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Bernard van Craeynest, actuel président de la CFE-CGC, n'aura pas de concurrent à ce poste lors du prochain congrès de la confédération de l'encadrement se tenant à Reims (Marne), du 17 au 19 février 2010. Aucune autre liste que à celle de Bernard van Craeynest n'est parvenue au siège de la CFE-CGC, jeudi 14 janvier 2010 après la clôture des candidatures. La liste des candidatures aux divers postes de secrétaire national sera connue en milieu de semaine prochaine, après validation par le conseil juridictionnel de la confédération.
Le conseil national de la Fédération CFE-CGC de la métallurgie désigne officiellement, jeudi 5 novembre 2009, Bernard van Craeynest, comme candidat à l'élection de la présidence de la confédération de l'encadrement. L'actuel président confédéral briguera ainsi un nouveau mandat avec le soutien de sa fédération d'origine, lors du prochain congrès confédéral (du 17 au 19 février 2010 à Reims). Ce serait son deuxième mandat plein. Pour l'heure, il est le seul à postuler officiellement à la présidence de la CFE-CGC ; les candidatures seront closes le 14 janvier 2010.
La représentativité catégorielle en 2013 tout en préparant l'émergence d'une troisième force syndicale aux côtés de la CGT et de la CFDT : tel est le compromis trouvé entre la fédération de la métallurgie de la CFE-CGC et Bernard van Craeynest, président confédéral pour que celui-ci puisse se présenter pour un nouveau mandat avec le soutien de sa fédération d'origine lors du prochain congrès confédéral (du 17 au 19 février 2010 à Reims). Pour acter ce compromis, Bernard van Craeynest a signé un « contrat d'engagement pour l'avenir de la CFE-CGC » rédigé par le bureau fédéral de la métallurgie, lors d'un comité directeur fédéral, jeudi 15 octobre 2009. En pratique, cela ne signifie pas que le président confédéral sortant sera « ipso facto » le candidat de sa fédération pour le prochain congrès confédéral de février 2010 ; c'est au conseil national fédéral de trancher le 5 novembre prochain. Mais selon toute vraisemblance, Bernard van Craeynest sera l'unique candidat issu de sa fédération à la présidence confédérale.
« Statutairement », la déclaration de candidature de Bernard van Craeynest à un troisième mandat de président confédéral de la CFE-CGC, mercredi 22 juillet 2009 (AEF n°296472), « n'est pas possible », indique à l'AEF Gabriel Artero, président de la fédération CFE-CGC de la métallurgie, dont est issu Bernard van Craeynest. Les statuts de la confédération imposent, en effet, d'être désigné candidat par sa fédération d'origine, or « le process de désignation d'un éventuel candidat de la fédération de la métallurgie n'interviendra qu'à l'automne ». Dans ces conditions, pour Gabriel Artero, la prise de position de Bernard van Craeynest hier est une « candidature à la candidature à la présidence »
Bernard van Craeynest, actuel président de la CFE-CGC, brigue un troisième mandat à la tête de la confédération de l'encadrement, indique l'organisation sur son site, mercredi 22 juillet 2009. Élu une première fois, fin 2005, après le décès de Jean-Luc Cazettes, Bernard van Craeynest a été reconduit dans ses fonctions en décembre 2006. Il présente Carole Couvert, actuelle secrétaire nationale chargée de la cohésion interne, au poste de secrétaire générale, poste actuellement occupé par Gérard Labrune. Le 34e congrès de la CFE-CGC se tiendra du 17 au 19 février 2010 à Reims.
« En créant le CRD (comité de réflexion et de dialogue), nous avons créé la structure d'ouverture permettant aux uns et aux autres de venir dialoguer et de construire une nouvelle force syndicale réformiste », indique Bernard van Craeynest, président de la CFE-CGC, mardi 10 mars 2009, après l'adoption du nouveau projet de la confédération de l'encadrement pour « un nouveau paysage syndical ». Selon ce nouveau projet confédéral, « le CRD doit avoir comme stratégie de base l'élargissement à toutes les forces syndicales à même de constituer ce nouveau pôle ». Pour le leader de la CFE-CGC, ce dispositif n'est pas très éloigné de la « structure chapeau », proposée début février 2009, dans laquelle l'Unsa et la CGC auraient dans un premier temps cohabité avant un éventuel rapprochement formel à l'horizon 2013.
"En portant sur la place publique les débats internes, les organisateurs de ces actions montrent que leurs intentions ne sont pas uniquement une simple opposition au projet, mais un coup d'état sur l'organisation elle-même. C'est une atteinte à la cohésion de l'organisation, à sa crédibilité et à ses valeurs", déclare Bernard van Craeynest, président de la CFE-CGC, dans une lettre ouverte aux adhérents de la confédération de l'encadrement, mercredi 21 janvier 2009. Cette lettre intervient au lendemain d'un comité directeur de l'organisation au cours duquel ses membres se sont prononcés sur les accords nationaux interprofessionnels récemment négociés (assurance chômage, formation professionnelle, GPEC et CRP) et ont adopté une motion pour suspendre le mandat donné à l'exécutif confédéral en vue d'un rapprochement avec l'Unsa.