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« Au premier trimestre, nous allons lancer un groupe de travail sur le thème de la performance énergétique et des transactions immobilières. Nous voulons vérifier dans quelle mesure la transaction immobilière peut être l'occasion d'améliorer la performance énergétique, et si oui, s'il faut un levier du type bonus. » C'est ce que déclare à AEF Habitat et Urbanisme Philippe Pelletier (1), président du Plan Bâtiment Grenelle, vendredi 15 janvier 2010. A quelques semaines de la sortie de son premier rapport annuel, il revient sur la mise en oeuvre de ce plan qui avait été présenté en conseil des ministres le 21 janvier 2009. Il se félicite notamment de l'émergence d'une « valeur verte » mais repousse l'idée d'une « obligation » de travaux, estimant que le marché n'est pas encore prêt et qu'il reste encore à harmoniser la qualité de l'offre de services.
Mettre en place un plan national de lutte contre la précarité énergétique qui, sur dix ans, viserait en priorité les 425 000 ménages les plus exposés, pour un coût total estimé à 3,97 milliards dont 1,7 milliard pour l'État. C'est ce que préconise un rapport remis officiellement le 6 janvier 2010 à Valérie Létard, secrétaire d'État au Développement durable et Benoist Apparu, secrétaire d'État chargé du Logement et de l'Urbanisme. Il est issu des travaux d'un groupe de travail sur la précarité énergétique présidé par Philippe Pelletier, président du comité stratégique du Plan Bâtiment Grenelle, et a été rédigé par Alain de Quero, directeur de l'action territoriale de l'Anah (Agence nationale de l'habitat) et Bertrand Lapostolet, chargé de mission à la Fondation Abbé Pierre pour le logement des défavorisés. La liste des neuf propositions a été établie à partir des 80 contributions rédigées par les participants au groupe de travail, à savoir des fournisseurs d'énergie, des financeurs, des élus ainsi que des acteurs de la solidarité, du logement et de la maîtrise de l'énergie.
L'examen en séance publique du projet de la loi portant engagement national pour l'environnement, dit « Grenelle II », sera reporté « après les élections régionales, c'est-à-dire au mois d'avril », annonce Christian Jacob (UMP, Seine-et-Marne), président de la commission du Développement durable, mercredi 2 décembre 2009. Aussi, l'examen du texte par la commission débutera le 20 janvier 2010, et non pas en décembre comme initialement prévu.
« Le train est lancé et on est plutôt en avance à la gare », commente Jean-Louis Borloo, ministre de l'Écologie, de l'Énergie, du Développement durable et de la Mer, lors d'un point de présentation, mercredi 28 octobre 2009 à Paris, des avancées du « plan bâtiment » du Grenelle en présence notamment de Benoist Apparu, secrétaire d'État chargé du Logement et de l'Urbanisme. « Il est en train de se produire un phénomène d'accélération du plan », se félicite également Philippe Pelletier, président du comité stratégique du plan logement. « Nous avons l'oeil en permanence sur l'adéquation entre l'offre et la demande », souligne-t-il, ajoutant que « la demande va plus vite que nous l'avions imaginé ».
Voici une sélection des brèves fonction publique de la semaine du 29 mai 2023 :