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Jean-François Roubaud a été réélu pour un mandat de cinq ans à la présidence de la CGPME, indique la confédération dans un communiqué, mercredi 20 janvier 2010. 99 % des votants se sont exprimés en la faveur du président sortant, soit 76,65 % du collège électoral. Âgé de 66 ans, Jean-François Roubaud a été élu pour la première fois à la tête de l'organisation patronale en octobre 2002. Il a occupé entre mai et octobre 2002 les fonctions de vice-président. Il est actuellement membre du Conseil économique, social et environnemental et siège au sein du comité d'orientation du FSI (Fonds stratégique d'investissement), ainsi que du comité national des « états généraux de l'industrie ». Administrateur d'Ubifrance, Jean-François Roubaud est également président du conseil de surveillance d'Oséo financement et vice-président de l'UEAPME (association européenne des PME).
« Je suis le seul candidat à la présidence de la CGPME » déclare à l'AEF Jean-François Roubaud, actuel président de la confédération patronale. Le 21 janvier 2010, à l'occasion de la prochaine assemblée générale de la CGPME, Jean-François Roubaud, qui est aussi président de la CGPME de Paris, devrait être réélu pour entamer un troisième mandat de cinq années à la tête de l'organisation patronale. « Nous avons des axes importants à développer dans le champ social », affirme Jean-François Roubaud se refusant pour l'heure d'entrer dans le détail mais évoquant notamment « l'intéressement, dispositif à faire avancer dans les PME ».
Le conseil d'administration de l'Ania (Association nationale des industries agroalimentaires) prend la décision de quitter le Medef, jeudi 17 décembre 2009, à l'issue de deux heures et demi de débat, suivies d'un vote à bulletin secret. Sur 33 votants, 18 se sont prononcés pour la sortie, 12 contre et trois se sont abstenu. L'Ania estime que ses préoccupations sont « imparfaitement représentées » par le Medef, indique Jean-René Buisson, président de la fédération, lors d'une conférence de presse donnée à la suite de la réunion du conseil d'administration. « Nous nous posions la question depuis un certain temps de savoir si la relation service-coût était justifiée », ajoute-t-il. Représentant plus de 620 000 euros de cotisations par an, l'Ania est l'un des dix plus gros contributeurs du Medef. Elle représente environ 2,6 % des cotisations perçues par l'organisation patronale, soit 15 % de son propre budget.