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« Ce n'est pas en nous retirant du débat que nous convaincrons », affirme Éric de Labarre, secrétaire général de l'enseignement catholique (Sgec), à l'occasion de l'assemblée générale du Synadic jeudi 4 février 2010, à l'issue de laquelle Yves Ruellan a été réélu au poste de président. « Nous devons être capables de dialoguer sur la place publique « même si nous risquons de prendre des coups », comme le prouve « la pétition de six syndicats pour la défense de l'école publique qui circule actuellement (AEF n°276900). Vous démontrez justement par vos pratiques qu'il est possible de vivre une laïcité permettant une séparation organique de l'État et de l'Église et une collaboration fonctionnelle dans l'intérêt général », déclare Éric de Labarre à la centaine de chefs d'établissements du second degré présents.
« L'enseignement catholique a décidé de prendre à bras le corps le problème de la baisse de ses effectifs dans le primaire. Une commission permanente se réunira à partir de février 2010 et rendra ses pistes à l'automne », déclare Éric de Labarre, secrétaire général de l'enseignement catholique, à l'occasion de l'assemblée générale du Synadec qui fêtait le 25e anniversaire de sa création, vendredi 22 janvier 2010.
Les chefs d'établissement sont « l'un des corps les plus essentiels de l'enseignement catholique », déclare Éric de Labarre, secrétaire général de l'enseignement catholique, à l'occasion de l'assemblée générale du Synadec fêtant le 25e anniversaire de la création de ce syndicat de chefs d'établissement du premier degré (AEF n°277228). Il répondait ainsi aux inquiétudes exprimées par le président sortant du Snceel, autre syndicat de chefs d'établissement, qui, le 19 janvier dernier, à l'occasion du congrès du syndicat, estimait que les chefs d'établissement étaient « marginalisés » depuis l'arrivée d'Éric de Labarre à la tête du Sgec (AEF n°277632). « Vous êtes à l'un des endroits les plus cruciaux de la société française. C'est vous qui démontrez jour après jour qu'est tenable une laïcité qui permet la séparation organique mais la collaboration fonctionnelle de l'Église et de l'État », déclare Éric de Labarre.
« Nous avons été progressivement marginalisés » par le secrétariat général de l'enseignement catholique, regrette Yves-Jean Thomas, président sortant du Snceel, lors de son discours de politique générale prononcé à l'occasion du congrès du syndicat mardi 19 janvier 2010. Un nouveau président devrait être élu ce soir. « Notre place est contestée car au niveau national, nous ne sommes plus autant reconnus qu'avant et ce depuis trois ans », explique Yves-Jean Thomas. « Avant nous avions des liens forts avec le Sgec et même une connivence certaine. Mais le secrétaire général actuel [Éric de Labarre] a fait un autre choix lors de sa prise de fonctions, à savoir s'appuyer sur les directeurs diocésains. Les chefs d'établissement ne sont plus les interlocuteurs prioritaires », constate-t-il.
« Il ne faut pas bousculer la loi Debré car l'ensemble est encore un peu fragile », déclare François Perret, doyen de l'Inspection générale de l'Éducation nationale, lors d'un colloque organisé en Sorbonne jeudi 17 décembre 2009 par le secrétariat général de l'enseignement catholique, à l'occasion des 50 ans de la loi Debré sur les rapports entre l'État et les établissements scolaires privés et des 25 ans de la loi Rocard sur l'enseignement agricole privé. « Ce n'est pas dans le domaine de la loi que nous avons à progresser mais dans celui de la pratique », poursuit le représentant du ministère de l'Éducation nationale. « Les autorités de l'État laissent croître les établissements privés mais ne les associent pas au service public d'éducation. Les corps d'inspection ne regardent pas avec suffisamment d'intérêt ce qui se passe dans le privé. Nous manquons à notre devoir de contrat d'association. Je voudrais que l'on aille un peu plus loin, que l'on participe davantage à ce qui se fait dans le privé et j'interpelle à cet égard les représentants de l'État. »
« L'équilibre entre l'ouverture à tous et notre caractère propre n'est pas toujours facile à tenir. C'est pourquoi nous avons voté le texte sur « l'annonce explicite de l'Évangile dans les établissements catholiques d'enseignement », déclare Éric de Labarre, secrétaire général de l'enseignement catholique, lors de sa conférence de presse de rentrée mardi 29 septembre 2009 (AEF n°288534). Ce texte publié hier par AEF (AEF n°289180) permettra selon lui de « clarifier les termes de la question religieuse dans les établissements catholiques ».
28 associations bénéficieront de financements du gouvernement pour mener à bien des actions en faveur de l’égalité économique entre les femmes et les hommes. Elles ont remporté l’appel à projets lancé en mars 2022, doté d’une enveloppe totale d’un million d’euros. Les projets financés visent en particulier à "permettre à un plus grand nombre de femmes d’accéder à une autonomie économique", à "permettre aux femmes, notamment celles les plus éloignées de l’emploi, de s’insérer professionnellement" et à "promouvoir la mixité dans des secteurs identifiés comme non mixtes".