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« Nous récusons la logique promue par le gouvernement d'évaluation-couperet, délétère, produisant des effets durables, voire irréversibles », affirme le Snesup-FSU, le 9 février 2010. L'organisation syndicale estime que « la loi LRU, les décrets statutaires et le décret CNU qui instaurent l'évaluation quadriennale des enseignants-chercheurs, sont source d'effets nocifs ». Le Snesup « invite la CoP-CNU à exiger un moratoire jusqu'à la fin du présent mandat du CNU afin de mettre en place les conditions favorables de cette évaluation ».
La CPU, la CoP-CNU et le MESR se sont accordés sur le contenu du rapport d'activité, qui doit servir de base à l'examen des demandes de promotion des enseignants-chercheurs, indique la CPU dans sa lettre du 21 janvier 2010.
« Globalement, les discussions avec le ministère sont positives et constructives. Il y a une vraie volonté d'arriver à un mode de fonctionnement du CNU qui renforce sa visibilité et son efficacité », indique Jacques Moret, président de la CP-CNU à AEF, suite à une réunion avec le cabinet de Valérie Pécresse au sujet des évolutions du CNU, jeudi 2 juillet 2009. Dans une motion adoptée le 11 juin, la CP-CNU avait « exigé que la mise en place de l'évaluation quadriennale des enseignants-chercheurs soit repoussée à la prochaine mandature du CNU » (AEF n°291682).
L'assemblée générale de la CP-CNU « exige » que la mise en place de l'évaluation quadriennale des enseignants-chercheurs « soit repoussée à la prochaine mandature » du CNU, dans une motion adoptée à l'unanimité moins deux abstentions, lundi 8 juin 2009. En effet, le Conseil national « actuel n'a pas été élu avec le mandat de mettre en place [cette] évaluation quadriennale ». Le renouvellement des membres du CNU doit intervenir dans 2 ans.
La circulaire relative aux décrets sur le statut des enseignants-chercheurs, sur le CNU et sur les conditions de classement dans le corps des enseignants-chercheurs, dont l'AEF s'est procuré une copie, a été transmise aux présidents d'université et aux organisations syndicales, jeudi 30 avril 2009. Adopté par le Conseil d'État le 21 avril (L'AEF n°299237), le décret n°2009-460 du 23 avril 2009 modifiant le statut des enseignants-chercheurs a été publié au JO du 25 avril 2009 (L'AEF n°297433). Composé de 44 articles, il doit entrer en vigueur au 1er septembre 2009.
Dans une déclaration lue à l’issue d’une réunion au siège parisien de Solidaires dans la foulée de la 10e journée de mobilisation contre la réforme des retraites le 28 mars 2023, l’intersyndicale annonce la poursuite des grèves et des manifestations au niveau interprofessionnel avec un nouveau rendez-vous national programmé jeudi 6 avril. Cette décision intervient après la fin de non-recevoir adressée par l’exécutif à la demande de médiation réclamée par les syndicats pour tenter de trouver une issue au conflit dans le dialogue. Avec comme préalable la mise en suspens de la réforme prévoyant le recul de 62 à 64 ans de l’âge légal de départ à la retraite qui fait l’objet de plusieurs recours devant le Conseil constitutionnel. L’intersyndicale continue donc d’afficher son unité alors que, de l’aveu même de Philippe Martinez, une incertitude existe désormais sur la position qu’adoptera la CGT à l’issue de son congrès réuni actuellement à Clermont-Ferrand et devant se solder par le départ du leader de la centrale de Montreuil et la désignation d’une nouvelle direction confédérale.