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« Hors opérations proposées dans le cadre des projets de PRES ou de campus, je considère que les opérations les plus urgentes sont les suivantes : les opérations liées à la vie étudiante, notamment la viabilisation des terrains de la CIUP et les opérations concernant la restauration et les installations sportives […], le projet de Maison d'hôtes sur le terrain de la CIUP, les travaux d'agrandissement du CTLES (Centre technique du livre de l'enseignement supérieur) et le lancement du plan de modernisation des bibliothèques, le projet Poliveau pour Paris-III et le Muséum ainsi que les décisions concernant les acquisitions – Lourcine, voire Saint Vincent de Paul – sur lesquelles reposent les 'plans de regroupement des implantations' ». C'est ce qu'écrit Bernard Larrouturou, dans son rapport définitif sur l'immobilier universitaire parisien, rendu public le 19 février 2010. Un des objectifs du plan de rénovation immobilière est de « mettre en oeuvre pour chaque établissement ou chaque PRES un 'plan de regroupement de ses implantations immobilières' en vue de redonner une cohérence à ses implantations en les regroupant sur un petit nombre de sites aussi rapprochés que possible », confirme Bernard Larrouturou. Ce rapport définitif suit le même plan que le rapport d'étape d'octobre 2009 et tire les conclusions d'une concertation menée depuis lors avec les acteurs concernés (AEF n°291028). Il préconise également que chaque PRES francilien rassemble des universités et des écoles (AEF n°275181) et propose la création d'un Épaurif par extension de l'EPCJ (AEF n°275180).
« Le moment est venu pour ouvrir, avec les établissements et en lien avec la Ville de Paris, le travail de 'remise à plat' de l'utilisation du nom 'Sorbonne' par les établissements d'enseignement supérieur et de recherche parisiens », déclare Bernard Larrouturou dans son rapport final « Pour rénover l'enseignement supérieur parisien » rendu public vendredi 19 février 2010 (AEF n°275181) . Comme c'était le cas dans le rapport intermédiaire, Bernard Larrouturou consacre une annexe à cette question de la marque Sorbonne, titrée : « La Sorbonne, un atout ou un poids pour l'enseignement supérieur parisien ? ». « Le sujet de l'occupation du bâtiment Sorbonne est encore plus difficile », indique Bernard Larrouturou. Seules certitudes, selon lui : « la situation actuelle ne satisfait personne, et elle est particulièrement difficile pour les étudiants ». « Une majorité des acteurs continuent de se prononcer en faveur du statu quo, mais un nombre croissant d'interlocuteurs m'ont confié leur conviction qu'il faut ouvrir ce 'chantier' et bâtir une alternative », affirme encore Bernard Larrouturou. « Pour objectiver la réflexion, et à tout le moins prendre un peu de recul, il serait intéressant que l'État et la Ville de Paris demandent à un ou deux cabinets – étrangers bien sûr – d'expertiser la valeur de la marque Sorbonne et de donner des conseils sur son utilisation », suggère-t-il
Accompagner la structuration des trois PRES parisiens, améliorer durablement le cadre de vie des étudiants parisiens, lancer immédiatement des opérations immobilières très attendues et mettre en place un dispositif d'accompagnement au service des établissements. Ce sont les quatre engagements pris par Valérie Pécresse à l'occasion de la publication des conclusions définitives du rapport de Bernard Larrouturou sur l'immobilier universitaire parisien, le 19 février 2010 (AEF n°275181 et n°275180 et (AEF n°275182). « Avec le rapport final de Bernard Larrouturou, l'État dispose désormais d'une vision globale pour l'avenir de l'enseignement supérieur parisien », commente la ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche. Elle se félicite « de l'implication de la communauté universitaire sur tous les sujets du rapport, et du succès de la concertation menée ces derniers mois » et souhaite « que la Ville et la région s'engagent prochainement dans cette concertation sur la base des lignes directrices exposées aujourd'hui et que cette concertation débouche sur un engagement financier significatif des collectivités locales ».
« De nombreux aspects du rapport [Larrouturou] nous semblent discutables, voire contradictoires avec la politique de nos établissements respectifs », écrivent Louis Vogel, Georges Molinié et Jean-Charles Pomerol, respectivement présidents des universités Paris-II Panthéon-Assas, Paris-IV Sorbonne et de l'UPMC (Paris-VI), dans une lettre adressée à Valérie Pécresse, le 19 octobre 2009 (AEF n°291423 et 291421). Ils souhaitent « attirer l'attention » de la ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche sur « quatre d'entre eux » qu'ils considèrent comme « fondamentaux » et qui concernent l'autonomie des universités, le PRES, l'immobilier universitaire et l'Epaurif.
Selon des données publiées par la Dares le 12 août 2022, l’indice du salaire mensuel de base (SMB) de l’ensemble des salariés progresse de 1,0 % et l’indice du salaire horaire de base des ouvriers et des employés (SHBOE) de 1,3 % au cours du deuxième trimestre 2022. Sur un an, le SMB augmente de 3 % et le SHBOE de 3,5 %. Ces évolutions sont à mettre en regard de l’inflation, qui atteint 6 % pour les prix à la consommation hors tabac entre fin juin 2021 et fin juin 2022. Ainsi, sur un an et en euros constants, le SMB diminue de 3 % et le SHBOE de 2,5 %.
Par catégorie professionnelle, sur un an, le salaire mensuel de base en euros constants baisse de :