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« L'affirmation du positionnement de l'Inra en région, par l'émergence d'un centre unique en Paca, se fait dans le respect des spécificités des deux sites initiaux, notamment en termes de partenariats, et le maintien des personnels dans leurs structures d'origine », déclare à AEF Michel Bariteau, délégué régional de l'Inra en Provence-Alpes-Côte d'Azur et désormais président de l'Inra Paca. Depuis le 1er janvier 2010, l'Inra a fusionné dans un centre unique ses centres d'Avignon et de Sophia-Antipolis, plaçant le nouveau centre Paca au 4e rang national parmi les 19 centres Inra avec un budget consolidé de 54 millions d'euros. Il rassemble 970 agents, dont 380 chercheurs et enseignants-chercheurs, sur neuf sites. Michel Bariteau revient sur les conséquences de cette fusion, qui « renforce la lisibilité de l'Inra sur le territoire et sa crédibilité auprès des collectivités et des universités ».
« Les évaluations de l'Aeres ont vocation à servir. La ministre et la DGRI souhaitent qu'elles aient des effets dans le fonctionnement au jour le jour des institutions », déclare Philippe Gillet, directeur de cabinet de Valérie Pécresse, mercredi 20 janvier 2010, lors de la présentation des rapports de l'Aeres portant sur l'Inra (AEF n°277532) et sur le CEA (AEF n°277529). Philippe Gillet indique que des indicateurs de suivi des recommandations de l'Aeres pourront figurer dans les contrats d'objectifs que doivent signer l'Inra et le CEA avec l'État en 2010.
Au cours des dix dernières années, l'organisation et l'image de l'Inra se sont considérablement améliorées, estime l'Aeres dans son rapport d'évaluation sur l'organisme de recherche. Daté de décembre 2009, il est rendu public mercredi 20 janvier 2010. Le comité d'experts était présidé par Rudy Rabbinge, professeur des universités (université de Wageningen, Pays-Bas).
L'Inra va lancer une consultation de ses partenaires pour déterminer ses orientations de recherche 2010-2014. Marion Guillou, PDG de l'organisme de recherche, l'annonce lors de ses voeux pour l'année 2010, mercredi 13 janvier 2010. « Nous allons consulter les unités de recherche en interne, mais comme nous sommes un organisme de recherche finalisée, nous avons envie de savoir ce que souhaitent les partenaires (entreprises, collectivités…) », explique-t-elle.
L'Inserm et l'Inra annoncent la signature d'une convention quadriennale en matière de « protection et de valorisation économique des résultats obtenus au cours de projets scientifiques communs ou au sein d'unités mixtes de recherche impliquant leurs équipes scientifiques », mardi 15 décembre 2009. Les deux instituts ont décidé de confier la valorisation des résultats de leurs recherches à leurs filiales en fonction du domaine d'application : la santé humaine pour Inserm Transfert ; la santé animale, l'alimentation et la nutrition humaine pour Inra Transfert.
Le conseil d'administration de l'Inra a adopté le budget primitif 2010, en hausse de 5,4 %, mardi 15 décembre 2009. Il a également approuvé le renouvellement du collège de direction. Michel Eddi est reconduit pour quatre ans dans ses fonctions de directeur général délégué en charge de l'appui à la recherche. François Houllier, directeur scientifique « plantes et produits végétaux », succède quant à lui à Guy Riba comme directeur général délégué chargé des programmes, du dispositif et de l'évaluation scientifiques. Guy Riba devient vice-président non exécutif de l'Inra. Enfin, les cinq délégués scientifiques actuels cèdent la place à trois délégués scientifiques en charge respectivement de l'agriculture, l'alimentation et l'environnement.