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L'université du Littoral Côte d'Opale milite pour la constitution à l'échelle régionale d'une « Université Lille Nord de France » fédérale dans le cadre de la réponse au grand emprunt national. « Si nous voulons figurer parmi les dix campus d'excellence qui seront sélectionnés à l'automne, nous devons annoncer rapidement la création d'un grand établissement régional doté d'un conseil unique compétent », estime Roger Durand, président de l'Ulco depuis le 6 octobre dernier (AEF n°288889).
Roger Durand, élu président de l'Ulco (université du Littoral Côte d'Opale) le 6 octobre 2009 (AEF n°288889), intègre dans son équipe de direction Faustin Aïssi et Robin Bocquet, qui s'étaient portés candidats en même temps que lui au moment de l'élection. Faustin Aïssi est ainsi confirmé au poste de vice-président du conseil d'administration, mission qu'il exerçait déjà lors du mandat d'Edward Anthony. Il est également chargé des relations internationales. Robin Bocquet, directeur de l'Ireni (Institut de recherche en environnement industriel), devient quant à lui vice-président du conseil scientifique, fonction qu'occupait précédemment Roger Durand.
« Les stratégies de l'Ulco (Université du Littoral Côte d'Opale) correspondent aux objectifs qui ont justifié sa création », à savoir « l'aménagement du territoire avec la mise en place de formations professionnalisantes au plus près des localités d'origine des étudiants » et « le développement d'activités de recherche insérées dans leur environnement et à fort potentiel de valorisation », estime l'Aeres, dans son rapport d'évaluation de septembre 2009. Les experts de l'agence d'évaluation déplorent cependant « un déficit d'attractivité tant en formation qu'en recherche », « des effectifs en baisse » et « un risque de fuite en avant dans la recherche d'étudiants étrangers ou sous convention ». Ils estiment en outre que le « lien pérenne et privilégié, notamment au niveau financier » qui existe entre l'université et les collectivités territoriales, peut « soulever la question délicate de la pleine autonomie de l'Ulco dans ses choix et décisions au service d'une politique d'établissement universitaire (et de ses intérêts) ».