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« Il faut veiller à ce que toutes les compétences, et pas seulement financières, soient représentées au conseil d'administration d'une entreprise. Il faut notamment des compétences managériales pour aborder les grands enjeux du développement durable. Ces enjeux devraient être abordés en conseil d'administration au moins deux fois par an, et notamment lors de l'assemblée générale où le rapport annuel de l'entreprise est présenté aux actionnaires », estime Daniel Lebègue, mardi 23 mars 2010, lors d'un débat sur « la gouvernance durable et l'entreprise », organisé par le Federe (forum européen pour le développement durable et une entreprise responsable). Ancien directeur général de la CDC (1997-2002), président de l'IFA (Institut français des administrateurs), de l'Orse (Observatoire sur la responsabilité sociétale des entreprises) et de Transparency International France, ONG de lutte contre la corruption, Daniel Lebègue est administrateur dans plusieurs associations et ONG.
« Améliorer l'image de l'entreprise », « développer l'innovation », développer l'attractivité de l'entreprise vis-à-vis des personnes à recruter et « contribuer à la gestion des risques (financiers, juridiques, environnementaux) ». Tels sont les quatre retombées les plus attendues par les entreprises qui mettent en place une politique de développement durable, selon un baromètre TNS Sofres-La Poste, présenté mardi 23 mars 2010, lors du Federe (Forum européen pour le développement durable et une entreprise responsable). La volonté « d'améliorer le climat interne en fédérant le personnel autour de projets communs » vient en cinquième position, tandis que le souci « d'améliorer la confiance des milieux financiers et des actionnaires » arrive en dernière position.
Daniel Lebègue, président de l'Orse (Observatoire de la responsabilité sociétale des entreprises), souligne l'« ambivalence des TIC [technologies de l'information et de la communication] sur l'aspect social des entreprises ». Il intervient à l'occasion de la présentation du rapport « Usages des TIC et RSE : nouvelles pratiques sociales dans les grandes entreprises », jeudi 9 juillet 2009. Ce rapport a été rédigé par François Silva, professeur à l'Escem (École supérieure de commerce et de management) Tours-Poitiers, et Stéphane Hugon, professeur à la Sorbonne, pour le compte de l'Orse et du Cigref (Club informatique des grandes entreprises françaises).
Mercredi 25 janvier 2023, ICPF a annoncé ouvrir son capital à hauteur de 30 % par le biais d’une levée de fonds de 4 millions d’euros réalisée auprès de la société d’investissement CITA. Objectif : permettre à cet organisme de certification qualité, qui est accrédité par le Cofrac pour délivrer Qualiopi - cette activité représentant l’essentiel de son chiffre d’affaires, de lancer en septembre 2023 une nouvelle version de sa plateforme numérique avec pour ambition de proposer aux autres organismes certificateurs "une plateforme intégrée de gestion de leurs propres offres de certification, d’évaluation ou d’inspection", explique à AEF info François Galinou, le président d’ICPF. L'organisme souhaite également "déployer une offre de mise en relation entre les certificateurs et les organismes de formation qui ne savent pas nécessairement se faire habiliter sur Qualiopi."