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La FMF et l'Umespe réagissent à leur tour, jeudi 25 mars 2010, aux déclarations du Président de la République à l'issue du conseil des ministres, mercredi 24 mars, qui a appelé à « une grande concertation » sur la médecine libérale. Les deux syndicats s'en félicitent et avancent leurs propositions : une revalorisation tarifaire, une fongibilité des enveloppes entre médecine de ville et hôpital pour l'Umespe/CSMF, ou encore « un plan Marshall » pour la FMF.
La CSMF, MG France et le SML réagissent mercredi 24 mars 2010, par trois communiqués de presse distincts, à l'allocution de fin de matinée du président de la République (AEF n°272944). Prenant acte des déclarations du chef de l'État, les trois syndicats revendiquent, chacun de leur côté, une concertation débouchant sur des mesures concrètes. À la suite du Conseil des ministres, Nicolas Sarkozy avait indiqué que le temps était « venu de faire porter notre attention sur la médecine de proximité » et annoncé qu'« une grande concertation » allait être engagée afin de trouver une solution aux difficultés des médecins.
« Mon devoir de chef de l'État est de garantir que vos retraites seront financées », déclare mercredi 24 mars 2010 Nicolas Sarkozy dans une intervention lue au sortir du premier conseil des ministres suivant le deuxième tour des élections régionales du 21 mars et au lendemain de manifestations dans toute la France placées sous le signe de l'emploi et des retraites (AEF n°272975). Le président de la République réitère sa promesse d'un temps de discussion, « le temps qu'il faut », avec les partenaires sociaux. « Je ne passerai pas en force », assure le chef de l'État qui « appelle chacun à abandonner les postures partisanes » sur « un sujet de cette importance » alors que les retraites sont « menacées par un déficit qui ne cesse de se creuser ».