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« Faire de la ville durable c'est agir à grande échelle, celle de l'agglomération, du territoire. Un écoquartier c'est bien mais les nouveaux quartiers ne seront qu'une toute petite partie de la ville de demain », indique Ariella Masboungi, architecte-urbaniste de la DGALN (Direction générale de l'aménagement, du logement et de la nature). Elle s'exprime, vendredi 26 mars 2010, dans le cadre de l'atelier « Grands territoires, beaucoup d'acteurs, peu de projets » organisé lors des 6es Entretiens de l'aménagement, à Bordeaux. « Pour faire du développement durable, il faut penser l'aménagement dans son ensemble en y associant tous les acteurs : les collectivités locales, les centre commerciaux, les lotisseurs, les logisticiens, les directions de l'équipement, explique-t-elle. Cela aboutit à donner une vision coordonnée du territoire et des coopérations gagnant-gagnant. »
« Je mesurerai les résultats de l'Anru [Agence nationale pour la rénovation urbaine] à l'aune de ses effets périphériques sur l'ensemble du territoire et pas seulement des changements réalisés dans les zones Anru. » C'est ce qu'explique Christophe Robert, directeur des études à la Fondation Abbé Pierre et membre du CES (Comité d'évaluation et de suivi) de l'Anru, vendredi 26 mars 2010, à une semaine de la présentation du rapport 2009 du CES qui aura lieu le 2 avril. À l'occasion d'un atelier intitulé « Le malaise des banlieues est-il soluble dans la rénovation urbaine », dans le cadre des 6es Entretiens de l'aménagement qui se déroulent à Bordeaux (1), Christophe Robert dévoile les grandes lignes du rapport et fait part de ses propres observations. « Du point de vue de l'intervention, l'Anru est au rendez-vous, le rythme de croisière actuel est devenu plus satisfaisant. Mais du point de vue des objectifs du PNRU (Programme national de rénovation urbaine), les résultats sont beaucoup moins évidents. »
« La précarité en matière de logement n'est pas derrière nous, elle est devant nous, c'est un défi que nous avons à relever », déclare Alain Juppé, maire (UMP) de Bordeaux et vice-président de la CUB (Communauté urbaine de Bordeaux) lors de l'ouverture des 6es Entretiens de l'aménagement (1), jeudi 24 mars 2010, à Bordeaux. Un constat partagé par l'ensemble des intervenants de la table ronde d'ouverture intitulée « Crises et mutations : quelle nouvelle donne pour la ville ? ». Ainsi, pour Jean Frébault, président du conseil de développement du Grand Lyon, « il y a beaucoup de situations inquiétantes dont on ne parle pas assez dans l'espace public comme les personnes qui habitent dans leur voiture, dans leur caravane, au camping, chez des amis… Il y a parfois un décalage frappant entre la perception des aménageurs et certaines réalités. » « Une politique sociale du logement ne peut plus se limiter à une politique du logement social », abonde le géographe Jacques Lévy.
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