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« La Cites a subi l'influence croissante des préoccupations des courtiers, commerçants, négociants, notamment pour les espèces de poisson comme le thon ou le requin, représentant des flux commerciaux importants », affirme à AEF Jacky Bonnemains, président de l'association Robin des bois, vendredi 26 mars 2010. La Cites (convention internationale sur le commerce des espèces menacées) avait lieu à Doha (Qatar), du 13 au 25 mars 2010. Elle se clôt, selon lui, sur un « bilan mitigé mais pas catastrophique » : « L'expérience prouve qu'il ne faut pas se décourager. Ce genre de convention est une véritable partie d'échecs qui se joue sur des décennies. Il faut revenir avec de meilleures propositions. »
« Nous sommes déçus par le résultat de la réunion de la Cites au regard de la proposition de l'Union européenne d'inscrire le thon rouge en annexe I de la convention », déclarent Janez Potocnik, commissaire européen à l'environnement et Maria Damanaki, commissaire aux affaires maritimes et à la pêche, jeudi 18 mars 2010. Le même jour, la proposition d'interdire le commerce international de thon rouge de l'Atlantique a été rejetée (L'AEF n°273312), lors d'un vote des parties à la Cites (convention internationale sur le commerce des espèces sauvages menacées), réunies à Doha (Qatar) jusqu'au 25 mars.
« WWF va appeler les restaurateurs, détaillants, cuisiniers et consommateurs à ne plus acheter, vendre et manger de thon rouge », « afin de donner une chance à l'espèce de se renouveler », lance le WWF International, jeudi 18 mars 2010. De son côté, Greenpeace international dénonce « une erreur sordide ». Elles s'expriment après que la proposition d'interdire le commerce international de thon rouge de l'Atlantique a été rejetée, jeudi 18 mars, lors d'un vote des parties à la Cites (convention internationale sur le commerce des espèces sauvages menacées). La réunion a lieu à Doha (Qatar) jusqu'au 25 mars. Selon les scientifiques, il ne reste à ce jour que 15 % de la population d'origine de thon rouge, principalement consommé dans la cuisine japonaise.
La proposition d'interdire le commerce international de thon rouge de l'Atlantique a été rejetée, jeudi 18 mars 2010, lors d'un vote des parties à la Cites (convention internationale sur le commerce des espèces sauvages menacées), réunie à Doha (Qatar) jusqu'au 25 mars. Selon les scientifiques, il ne reste à ce jour que 15 % de la population d'origine de thon rouge, principalement consommé dans la cuisine japonaise. La proposition européenne (L'AEF n°273717), qui demandait l'inscription du thon rouge à l'annexe I, mais un avec un délai supplémentaire jusque 2011, a été rejetée par 72 voix, contre 43 pour et 24 abstentions. Les pays qui se sont exprimés contre la proposition lors de la séance plénière sont le Canada, l'Indonésie, la Tunisie, les Émirats Arabes, le Venezuela, le Chili, le Japon, Grenade, la Corée, le Sénégal, la Turquie, le Maroc, la Namibie et la Libye.
Voici une sélection des brèves fonction publique de la semaine du 29 mai 2023 :