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« L'objectif du RTRA de la chimie et de ses frontières est la levée de fonds, le renforcement de notre rayonnement auprès des entreprises permettant de pérenniser la fondation et le réseau d'excellence », indique à AEF Jean Gagneux, directeur administratif et financier du RTRA de la chimie et de ses frontières, qui aborde sa troisième année d'activités. Comme les douze autres RTRA lancés dans le cadre de la loi de programme sur la recherche de 2006 (AEF n°397854), le RTRA en chimie fonctionne sous le statut de fondation de coopération scientifique reconnue d'utilité publique. Dans le contexte local de fusion des universités, cette fondation a décidé de « travailler étroitement » avec la fondation partenariale de l'université de Strasbourg, en lançant courant 2010 une campagne de levée de fonds commune.
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Le RTRA spécialisé dans les Tic Digiteo « commence tout juste à utiliser la dotation initiale de l'État », qui était de 17 millions d'euros. « Auparavant, nous avons consommé les fonds versés par les membres fondateurs et par la région. Au rythme où nous sommes, il y aura besoin de financements complémentaires. » C'est ce qu'indique son directeur exécutif, Maurice Robin, mardi 27 octobre 2009. Le réseau « ne peut pas compter sur le mécénat des industriels », note Maurice Robin, car « tous les membres ont déjà leurs propres campagnes de levée de fonds ». Le directeur pense qu'il faut proposer aux industriels « des projets pour lesquels ils ont un retour » et pour lesquels « un établissement seul ne dispose pas des compétences suffisantes. Faire une proposition collective apporte alors une plus-value. »