En plus des cookies strictement nécessaires au fonctionnement du site, le groupe AEF info et ses partenaires utilisent des cookies ou des technologies similaires nécessitant votre consentement.
Avant de continuer votre navigation sur ce site, nous vous proposons de choisir les fonctionnalités dont vous souhaitez bénéficier ou non :
« D'après les statistiques révisées de la Dares, le bilan de l'année 2009 est un peu meilleur que prévu en ce qui concerne l'emploi dans le bâtiment. De fait, alors qu'en novembre dernier nous anticipions un léger recul de l'intérim au second semestre, il s'est stabilisé. Au global, en additionnant effectifs salariés et postes d'intérim en équivalents temps plein, le bilan 2009 s'établit à 45 300 emplois perdus en moyenne sur l'année, soit un recul de 3,3 % » (qui se répartit en -2,3 % pour les salariés et -17,1 % pour l'intérim). C'est ce qu'indique Didier Ridoret, président de la FFB (Fédération française du bâtiment), à l'occasion d'une conférence de presse, mercredi 31 mars 2010. « Fin 2009, l'appareil de production du bâtiment comprenait donc près de 1,2 million de salariés et environ 82 000 intérimaires en équivalents temps plein », poursuit-il.
« L'estimation de la baisse des effectifs dans le bâtiment se situe autour de 50 000 emplois en 2009 », indique Didier Ridoret, président de la FFB (Fédération française du bâtiment) lors d'une conférence de presse, mardi 24 novembre 2009. « En 2010, c'est quelque 30 000 postes supplémentaires que le secteur devrait de nouveau perdre, dont 5 000 en intérim. » Les estimations données par la FFB (à partir des données de Pôle emploi et des chiffres de la Dares) pour l'année 2009 font état d'un recul global de 40 400 postes dans le bâtiment (-3 %) dont 15 700 (-1,3 %) pour les effectifs salariés et 24 700 pour l'intérim en équivalent temps plein (-24,2 %). « En 2009, par comparaison avec 2008, l'activité du secteur se repliera en volume de 7,1 % et non de 4 % comme nous l'espérions », ajoute Didier Ridoret. Le président de la FFB rappelle que le secteur n'avait pas détruit autant d'emplois depuis les crises économiques de 1992 et 1995.
« L'emploi dans l'artisanat du bâtiment est globalement moins affecté par les variations à la baisse, il est estimé à ce jour une perte d'environ 10 000 emplois [hors intérim] » sur 750 000, indique Jean Lardin, président de la Capeb lors d'une conférence de presse mardi 13 octobre 2009. Cette perte en solde net est principalement la conséquence du non renouvellement de CDD, parallèlement à un recul de l'activité du secteur atteignant - 6 % en volume au troisième trimestre 2009 et aux prévisions « pessimistes » concernant les carnets de commande pour 2010.
« La tendance à la stabilisation de l'emploi pourrait se confirmer courant 2010, sous réserve de l'arrêt de la dégradation de l'activité à moyen terme », indique Didier Ridoret, président de la FFB (Fédération française du bâtiment), lors d'une conférence de presse mardi 22 septembre 2009. Le secteur du bâtiment a perdu en solde net quelque 47 700 emplois (25 400 équivalent temps plein en intérim et 22 300 postes salariés) entre le deuxième trimestre 2008 et le deuxième trimestre 2009, selon les chiffres de la Dares. Sur le seul deuxième trimestre 2009, le secteur a perdu 9 400 emplois salariés, après la suppression de 11 000 emplois salariés au premier trimestre. L'indice emploi de la FFB, qui ne porte que sur les entreprises de plus de dix salariés, relève un approfondissement de la baisse de l'emploi au deuxième trimestre (-1,8 % contre -1,4 % en moyenne sur les trois premiers mois de l'année).
« Le recul attendu pour 2009 devrait être de l'ordre de 20 000 emplois dont une large part d'intérimaires », explique Didier Ridoret, président de la FFB (Fédération française du bâtiment), lors d'une conférence de presse sur les perspectives de la branche, jeudi 2 avril 2009, à Paris. « L'ajustement des effectifs a déjà commencé, avec une perte de 1 000 emplois au quatrième trimestre 2008 par rapport à il y a un an, et une nouvelle baisse d'environ 11 % de l'intérim sur la même période », précise-t-il. Cette tendance se prolongera en 2009, avec très probablement une accentuation des licenciements.
1 395 100 personnes étaient employées par le secteur du BTP au 31 décembre 2006, soit 60 100 postes supplémentaires, hors intérim, par rapport à l'année précédente, selon les indicateurs sociaux de la branche que vient de publier la FFB (Fédération française du bâtiment). Au total, à cette date, "le BTP représente 8,6% des salariés de l'ensemble des secteurs économiques", annonce la FFB.
Dans une déclaration lue à l’issue d’une réunion au siège parisien de Solidaires dans la foulée de la 10e journée de mobilisation contre la réforme des retraites le 28 mars 2023, l’intersyndicale annonce la poursuite des grèves et des manifestations au niveau interprofessionnel avec un nouveau rendez-vous national programmé jeudi 6 avril. Cette décision intervient après la fin de non-recevoir adressée par l’exécutif à la demande de médiation réclamée par les syndicats pour tenter de trouver une issue au conflit dans le dialogue. Avec comme préalable la mise en suspens de la réforme prévoyant le recul de 62 à 64 ans de l’âge légal de départ à la retraite qui fait l’objet de plusieurs recours devant le Conseil constitutionnel. L’intersyndicale continue donc d’afficher son unité alors que, de l’aveu même de Philippe Martinez, une incertitude existe désormais sur la position qu’adoptera la CGT à l’issue de son congrès réuni actuellement à Clermont-Ferrand et devant se solder par le départ du leader de la centrale de Montreuil et la désignation d’une nouvelle direction confédérale.