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Constatant que « le contrat d'objectifs de l'Inserm est consacré exclusivement à Aviesan (Alliance nationale pour les sciences de la vie et de la santé) », le SNTRS-CGT en conclut qu'il « concerne donc tous les participants d'Aviesan et leurs personnels », fait-il savoir dans un communiqué diffusé mercredi 19 mai 2010. Le syndicat note qu' « il n'est pas prévu que les conseils d'administration des autres membres d'Aviesan se prononcent sur le texte », alors même que « le contrat d'objectif de l'Inserm sera lourd de conséquences pour les autres organismes de recherche ». Il relève également qu'en l'état, « le gouvernement a refusé d'y faire figurer les moyens ». Un premier jet du contrat d'objectifs avait été transmis au conseil scientifique de l'Inserm le 3 mai 2010, sous forme d'un « brouillon de travail qui n'est actuellement pas validé », précisait Thierry Damerval, directeur général délégué à la stratégie de l'institut (AEF n°268466).
« Communiqué aux organisations syndicales avant le conseil scientifique » de l'Inserm du 3 mai 2010, le « projet du contrat de performance » de l'institut se présente pour l'heure sous la forme de « treize pages d'objectifs opérationnels et d'actions associées », indique le SNTRS-CGT dans son compte rendu de cette réunion, en date du 4 mai 2010. Mis en ligne le 9 mai 2010 par le collectif « Sauvons la recherche », le projet du contrat d'objectifs est encore un « brouillon de travail qui n'est actuellement pas validé », ainsi que l'a spécifié aux membres du conseil scientifique Thierry Damerval, directeur général délégué à la stratégie de l'institut. Le SNTRS précise que « le document final aura la forme rédactionnelle d'une vingtaine de pages » assorti d' « une trentaine d'indicateurs ».
Le SNTRS-CGT arrive en tête des élections aux CAP (commissions administratives paritaires) de l'Inserm, organisées pour la mandature 2010-2013 et dont le dépouillement des résultats du deuxième tour est intervenu le 21 avril 2010. Totalisant 37,8 % des suffrages exprimés, le syndicat obtient 14 sièges dans les commissions (13 élus ITA et 1 élu chercheur). Il enregistre ainsi une progression de 11,8 % par rapport aux précédentes élections de 2007 (AEF n°468800). Suivent le Sgen-CFDT qui recueille 23,9 % des votes (baisse de 4,6 %) et obtient 8 sièges, le SNCS-FSU avec 16,5 % des bulletins (- 0,9 %) et 6 élus, le Snirs-CGC avec 13,8 % des voix (- 1,6 %) et 3 sièges, et la CFTC avec 8 % des suffrages (- 4,8 %) et 2 élus. Le taux de participation global à ces élections est de 45 %, légèrement en baisse (- 1,1 %) par rapport à 2007.
Dans une déclaration lue à l’issue d’une réunion au siège parisien de Solidaires dans la foulée de la 10e journée de mobilisation contre la réforme des retraites le 28 mars 2023, l’intersyndicale annonce la poursuite des grèves et des manifestations au niveau interprofessionnel avec un nouveau rendez-vous national programmé jeudi 6 avril. Cette décision intervient après la fin de non-recevoir adressée par l’exécutif à la demande de médiation réclamée par les syndicats pour tenter de trouver une issue au conflit dans le dialogue. Avec comme préalable la mise en suspens de la réforme prévoyant le recul de 62 à 64 ans de l’âge légal de départ à la retraite qui fait l’objet de plusieurs recours devant le Conseil constitutionnel. L’intersyndicale continue donc d’afficher son unité alors que, de l’aveu même de Philippe Martinez, une incertitude existe désormais sur la position qu’adoptera la CGT à l’issue de son congrès réuni actuellement à Clermont-Ferrand et devant se solder par le départ du leader de la centrale de Montreuil et la désignation d’une nouvelle direction confédérale.