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« Puisque les chefs d'établissement sont présidents des associations sportives dans les lycées, nous allons les doter de deux vice-présidents, l'un parent, l'autre élève, afin que l'ensemble de la communauté éducative s'attribue les réussites sportives de l'établissement », annonce le ministre de l'Éducation nationale lors de la « rencontre du sport scolaire », mardi 25 mai 2010, à la Maison du sport français. Le ministre indique que l'âge de responsabilité associative va être abaissé à 16 ans afin d' « encourager les jeunes à s'engager dans leur lycée ». Luc Chatel annonce également l'organisation, « une fois par an », d'une journée de l'association sportive « afin de présenter les trophées et les résultats obtenus par les équipes » et « d'aiguiser la curiosité des parents et des élèves eux-mêmes » sur les activités sportives proposées par l'UNSS dans les établissements. Le ministre s'exprime devant Rama Yade, secrétaire d'État chargée des Sports, Denis Masseglia, président du CNOSF, Laurent Petrynka, directeur de l'UNSS, Jean-Michel Sautreau, président de l'Usep, les présidents de plusieurs fédérations françaises sportives et de jeunes champions scolaires.
Luc Chatel présentera mardi 25 mai 2010 au Comité national olympique et sportif français (CNOSF, XIIIe arrondissement de Paris) « les enjeux du sport scolaire à partir d'une expérimentation en cours au lycée Jean-Vilar de Meaux » (Seine-et-Marne), en présence de Rama Yade, secrétaire d'État chargée des Sports, indique le ministère de l'Éducation nationale, dans un communiqué, vendredi 21 mai (1). Le lycée Jean-Vilar de Meaux (Seine-et-Marne) teste depuis le mois de novembre 2009 le dispositif « Cours le matin, sport l'après-midi », lancé par Jean-Michel Blanquer, alors recteur de Créteil et nommé Dgesco en décembre 2009. Depuis, la Dgesco aurait lancé auprès des recteurs un appel d'offres national pour la rentrée 2010 « sur l'aménagement du rythme scolaire autour de la pratique sportive », baptisé « Cours le matin, sport l'après-midi ». Selon les informations recueillies par AEF, certains enseignants d'EPS auraient déjà été sollicités pour participer à de nouvelles expérimentations. Ce texte, dont AEF a obtenu une copie non signée et non datée, s'inscrit dans le cadre des recommandations de la circulaire de rentrée 2010 (AEF n°273367).
« La CGT-Éduc'action déposera un préavis de grève si les indemnités de la session 2009 ne sont pas versées rapidement aux examinateurs », explique à AEF Patrick Désiré, co-secrétaire général de la CGT-Éduc'action, mercredi 12 mai. « Il n'y a rien de scandaleux à demander à ce que ces indemnités soient versées rapidement », précise-t-il. Des examinateurs convoqués pour les épreuves de la nouvelle session qui débute mi-mai ont fait savoir qu'ils refuseraient d'assurer leurs missions tant que les versements de la session 2009 ne seraient pas effectués (AEF n°269118). Alors que Stéphane Kesler, président du Siec, explique ces retards de paiements par la mise en place d'un nouveau logiciel de traitement des paies des examinateurs de BTS, Patrick Désiré estime que le Siec « ne peut pas se retrancher derrière le mauvais fonctionnement d'un logiciel ».
La revalorisation anticipée des retraites, votée le 3 août par le Parlement dans le cadre de la loi pouvoir d’achat, concerne la retraite de droit propre, la retraite de réversion, l’Aspa et l’ASI. Elle s’applique à compter des pensions du mois de juillet 2022, versées au mois d’août. Mais "le calendrier de l’examen parlementaire de cette loi n’a pas permis à l’Assurance retraite de déployer cette revalorisation" dans les délais prévus, annonce la Cnav le 8 août 2022. Elle "s’appliquera donc à partir du paiement de la retraite du mois d’août, versée le 9 septembre", avec effet rétroactif : le montant correspondant à la revalorisation de la retraite du mois de juillet sera versé avec ce paiement. La revalorisation, fixée à 4 %, est destinée à compenser l’inflation, et s’ajoutera à la hausse de 1,1 % survenue en janvier 2022.