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« La mise en place d'un contrat de PPP (partenariat public-privé) n'est pas anodin. Le choix du pouvoir adjudicateur, notamment, est structurant dans ses conséquences, en termes de propriété des biens et de responsabilité financière et de gestion », met en garde Jean-Yves Gacon, directeur de projets à la MAPPP (Mission d'appui à la réalisation des contrats de partenariat) auprès du ministère de l'Économie, de l'Industrie et de l'Emploi, vendredi 21 mai 2010, lors d'un séminaire de l'Amue (Agence de mutualisation des universités et établissements) consacré au sujet. « Au terme d'un contrat en PPP, la propriété du bien revient au 'pouvoir adjudicateur', donc, souvent, au PRES (pôle de recherche et d'enseignement supérieur) », souligne-t-il.