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Le président du CNRS Alain Fuchs nomme Michel Mortier, directeur de recherche au CNRS et administrateur provisoire de Chimie ParisTech, chargé de mission pour les projets de Satt (sociétés d'accélération du transfert de technologie), à compter du 15 mai 2010.
« La création des Satt [sociétés d'accélération du transfert de technologie] est partie d'un constat d'émiettement des structures de valorisation, et d'un besoin de regrouper les forces pour accélérer le transfert de technologie sur le marché. Cette initiative n'a pas été tirée du chapeau, elle est naturelle d'un point de vue historique. » C'est ce qu'affirme François Alter, chef du département valorisation et partenariat à la DGRI du ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, lors d'une table ronde sur la mise en place des Satt et les changements que cela implique dans le paysage de la valorisation, dans le cadre des RUE (rencontres universités entreprises) 2010, mercredi 26 mai 2010, au Cnit-La Défense.
L'essentiel des crédits du fonds national de valorisation d'un milliard d'euros créé dans le cadre du grand emprunt serviront à doter en capital « cinq à six » filiales de valorisation de groupements d'établissements d'enseignement supérieur et de recherche. C'est ce qu'indique le PLFR (projet de loi de finances rectificative pour 2010), qui est examiné par la commission des Finances de l'Assemblée nationale, mercredi 27 janvier 2010. Initialement, Valérie Pécresse, ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, avait indiqué que douze sociétés d'accélération du transfert de technologie verraient le jour en 2010 (AEF n°286834). Le PLFR fournit un certain nombre de précisions sur la nature et la sélection des filiales de valorisation, par rapport à ce qu'avait annoncé Nicolas Sarkozy en rendant ses arbitrages sur le grand emprunt le 14 décembre 2009 (AEF n°279711).