En plus des cookies strictement nécessaires au fonctionnement du site, le groupe AEF info et ses partenaires utilisent des cookies ou des technologies similaires nécessitant votre consentement.
Avant de continuer votre navigation sur ce site, nous vous proposons de choisir les fonctionnalités dont vous souhaitez bénéficier ou non :
Hilaire de Chergé, qui vient de rejoindre le Cesi au début du mois de juin 2010, prendra la direction générale de l'organisme de formation, au plus tard le 1er janvier 2011. Il remplacera dans cette fonction Jacques Bahry, qui assure la fonction de directeur général du Cesi depuis 28 ans, souligne le communiqué diffusé par l'organisme de formation mercredi 16 juin 2010. Jacques Bahry, qui prend sa retraite à la fin de l'année 2010, restera toutefois impliqué au sein du Cesi au travers d'un rôle de délégué général qui lui permettra d'assurer des « missions extérieures de représentation » de l'organisme de formation indique-t-il à l'AEF. Dans le même temps, une fonction de directeur général adjoint du groupe Cesi est créée et sera occupée, à compter du 1er janvier 2011, par Vincent Cohas, actuel directeur de Cesi SAS, l'entité du groupe qui couvre les deux marques, « Cesi Entreprises » et « Exia.Cesi », dédiées au marché privé de la formation et à la clientèle des entreprises en France.
Les ingénieurs ayant été formés par le Cesi dans le cadre de la formation d'ingénieur par l'apprentissage gardent un sentiment très positif vis-à-vis de leur formation. Près de 90 % d'entre eux recommanderaient ainsi l'apprentissage à un jeune pour poursuivre ses études comme l'indique l'étude sur « les ingénieurs Cesi formés par l'apprentissage depuis 20 ans » réalisée par l'EI.Cesi (l'école d'ingénieur de l'organisme de formation) en collaboration avec le Cefi (Comité d'études sur les formations d'ingénieurs) et présentée jeudi 6 mai 2010 à Paris. Sur près de 4 200 ingénieurs ayant été formés par la voie de l'apprentissage par le Cesi, 923 ont répondu à l'étude. Ils déclarent principalement avoir choisi la voie de l'apprentissage en raison de l'alternance école-entreprise (85 %) et dans l'espoir de s'insérer plus facilement (80 %). En revanche, le « rejet des voies traditionnelles d'études » et le fait que l'apprentissage représentait la « seule possibilité pour poursuivre [leurs] études (peu ou pas de financement de la famille) » sont les sources de motivations les moins citées par les ingénieurs interrogés (respectivement 25 % et 32 %).
"Quelle que soit la qualité de la prochaine réforme [de la formation professionnelle], elle ne pourra pas compenser les problèmes que les entreprises vont rencontrer dans les mois à venir", déclare Jacques Barhy, directeur général du Groupe Cesi, lors de la célébration du cinquantième anniversaire de l'organisme, le 26 septembre 2008. "Nous dépendons de la bonne santé des entreprises or, la situation économique n'est pas à l'optimisme", ajoute-t-il.