En plus des cookies strictement nécessaires au fonctionnement du site, le groupe AEF info et ses partenaires utilisent des cookies ou des technologies similaires nécessitant votre consentement.
Avant de continuer votre navigation sur ce site, nous vous proposons de choisir les fonctionnalités dont vous souhaitez bénéficier ou non :
« Nous arrivons à un moment intéressant où les présidents des trois universités vont présenter leur vision d'une université unique », déclare Dominique Deville de Périère, présidente du PRES UMSF (Université Montpellier Sud de France) lors d'une conférence de presse, mardi 15 juin 2010. Cette présentation devrait intervenir « d'ici 15 jours ». Lors de la constitution du PRES montpelliérain, les universités de Montpellier-I, Montpellier-II Sciences et techniques du Languedoc et Monptellier-III Paul-Valéry se sont engagées à fusionner au 1er janvier 2012 (AEF n°293077). Par ailleurs, le site montpelliérain attend d'avoir le détail des appels d'offres lancés dans le cadre du grand emprunt pour « candidater le plus possible ».
Les statuts du PRES « Université de Montpellier-Sud de France », constitué sous la forme d'un EPCS, sont publiés au Journal officiel du 10 juin 2009 (L'AEF n°293092). Les trois membres fondateurs de ce PRES sont les universités Montpellier-I, Montpellier-II (Sciences et techniques du Languedoc) et Montpellier-III (Paul-Valéry). Des membres associés pourront adhérer à la structure après accord unanime des membres fondateurs. Les conseils d'administration des trois universités de Montpellier avaient adopté les statuts du PRES le 23 janvier dernier (L'AEF n°304356).
"Université Montpellier Sud-de-France", c'est le nom du projet commun que déposeront les trois universités de Montpellier, SupAgro et l'École nationale supérieure de chimie dans le cadre de l' "Opération campus". "Le travail intense et collectif qui a réuni tous les jours, pendant un mois, les acteurs de l'enseignement supérieur et de la recherche a abouti à l'objectif d'une fusion des trois universités montpelliéraines au 1er janvier 2010", annonce Christian Nique, recteur de l'académie, interrogé par l'AEF. "Il s'est passé quelque chose à Montpellier où il a toujours été compliqué de faire travailler les établissements d'enseignement supérieur ensemble. D'ailleurs, il n'y a toujours pas de PRES. Nous sommes en train de changer d'époque", se félicite-t-il.