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« L'avantage relatif des États-Unis demeure mais les classements sont sensibles au concept retenu », indique l'Insee (Institut national de la statistique et des études économiques), dans son étude « L'économie française. Édition 2010 », publiée vendredi 18 juin 2010. L'Insee présente quelques éléments de comparaison internationale à partir des préconisations du rapport Stiglitz-Sen-Fitoussi, remis en septembre 2009, sur la mesure des performances économiques et du progrès social. Il aborde trois aspects : les aspects monétaires du bien-être, les aspects de la qualité de vie courante, et la mesure de la soutenabilité, en France, aux États-Unis, en Allemagne, au Royaume-Uni, en Irlande, au Japon et en Italie.
« Les émissions de CO2 de la France se sont élevées à 410 millions de tonnes en 2005. Elles restent, par habitant, nettement inférieures à celles des pays développés comparables, notamment parce que l'énergie électrique produite en France est à 90 % assise sur des technologies non émettrices de CO2, le nucléaire et l'hydroélectrique. » C'est ce qu'indique l'Insee (Institut national de la statistique et des études économiques), dans son rapport 2010 intitulé « L'économie française. Comptes et dossiers », publié le 18 juin 2010. Les émissions françaises représentent 1,3 % des émissions mondiales pour un pays dont l'économie représente 3 % du PIB mondial et le nombre d'habitants 1 % de la population mondiale.
La création d'un groupe de réflexion sur de nouveaux indicateurs de développement durable piloté par le directeur d'Eurostat et celui de l'Insee a été approuvé, jeudi 11 février 2010, par le Comité du système statistique européen. Ce groupe doit « établir un plan d'action pour appliquer, à l'échelle européenne, les recommandations de la commission Stiglitz », indique à AEF l'Insee. Il doit aussi « mettre en oeuvre la feuille de route promulguée par la Commission européenne » dans sa communication « Le PIB et au-delà ».
« L'Insee (Institut national de la statistique et des études économiques) va impulser au niveau international, avec l'OCDE (Organisation de coopération et de développement économiques) et Eurostat, la mise en œuvre des préconisations de la commission Stiglitz », déclare Jean-Philippe Cotis, le directeur général de l'Insee, mardi 17 novembre 2009, lors de la présentation du « détail du plan d'actions » de prise en compte par l'institut des travaux de la commission Stiglitz sur la mesure de la performance économique et du progrès social, rendus au président de la République le 14 septembre dernier. Un groupe de parrainage co-animé par l'Insee et Eurostat, est « en voie de création », indique-t-il.
L'Insee (Institut national de la statistique et des études économiques) annoncera le 17 novembre 2009 les changements qu'il compte mettre en œuvre pour tenir compte des travaux de la commission Stiglitz sur la mesure de la performance économique et du progrès social, indique un confidentiel du « Figaro », mardi 3 novembre 2009. « Sans remettre en cause le sacro-saint PIB, l'Insee donnera des indications sur la production domestique des ménages, qu'il s'agisse des tâches ménagères ou du bricolage, des informations nouvelles sur 'le bien-être subjectif', ressenti par les différentes catégories socioprofessionnelles », précise le quotidien. Contacté par l'AEF, l'Insee confirme qu'il y a aura une annonce « courant novembre ».
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