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« Un chiffre d'affaires de 148 millions d'euros », « 910 millions d'euros de travaux générés » dans le cadre de l'amélioration de l'habitat, « 345 millions d'euros de subventions mobilisées ». La fédération des Pact (Protection, amélioration, conservation et transformation de l'habitat) a présenté, jeudi 24 juin 2010, son bilan d'activités 2009 lors de son assemblée générale à Paris. La fédération, qui rassemble 145 associations et organismes dans toute la France, estime que « l'année 2009 est marquée par l'apparition très concrète de la réforme de l'État et [par] la réduction des capacités financières des collectivités territoriales et de l'État ». Cependant, elle appelle à un « programme ambitieux », « visant tout à la fois le bon usage du parc existant et la production de logement ».
« Lille Métropole a financé ou agréé près de 2 500 logements [sociaux] en 2009 (1 553 PLUS, 544 PLAI, 215 PLS, 150 PSLA) (1). Ces projets représentent un investissement de 329 millions d'euros. » C'est ce qu'indique LMCU (Lille Métropole communauté urbaine) (2), mercredi 21 avril 2010, à l'occasion de la présentation du bilan de sa politique locale de l'habitat. Les 544 PLAI financés, « soit six fois plus qu'en 2006 », représentent le maximum jamais atteint par la métropole. « Le Pact Métropole Nord [Association spécialisée dans la réhabilitation de logements] a fortement contribué à cette production avec 117 PLAI, soit 22 % de la production totale de PLAI financés en 2009. » Les trois-quarts de la production totale de PLAI ont été réalisés « sous forme de logements ordinaires ». Le reste a été réalisé sous forme de résidences sociales ou de maisons-relais. L'objectif de construction global de la communauté urbaine est de 6 000 logements par an dans les parcs privé et social.
« Nous allons consulter les bailleurs pour voir s'il est possible d'utiliser un volant des logements voués à la destructions pour en faire des logements temporaires dont la gestion serait confiée aux associations », indique Claude Touchefeu, adjointe PS à la mairie de Toulouse, mardi 5 janvier 2010 dans un communiqué. L'élue en charge de la politique de la ville et de la solidarité s'exprime à l'issue d'une réunion de travail avec l'association les Enfants de Don Quichotte. L'idée serait d'avoir un roulement pour quelques mois sur un certain nombre d'appartements avant qu'ils ne soient démolis. « La démarche plaît à l'équipe municipale, elle a germé à la suite de l'occupation d'un immeuble HLM voué à la destruction dans le quartier de Bellefontaine, en décembre 2009 », expliquent à AEF Habitat et Urbanisme, les services de la mairie de Toulouse qui vont « étudier dans les jours qui viennent les protocoles existant pour permettre un tel dispositif ».