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La Commission européenne a indiqué, lundi 5 juillet 2010, à l'issue d'une réunion des ministres européens de la Santé, son intention de revoir la sélection des experts impliqués dans l'évaluation des risques des OGM. « Nous allons développer avec l'Efsa (l'agence européenne de sécurité des aliments) un système de candidatures de scientifiques pour les panels de scientifiques pour les OGM », a précisé John Dalli, le commissaire européen à la santé et à la politique des consommateurs. « Nous voulons une évaluation de leur indépendance », a-t-il ajouté.
Les ministres Jean-Louis Borloo (Développement durable) et Bruno Le Maire (Alimentation et Agriculture) ont annoncé la saisine du HCB (Haut Conseil des biotechnologies), mardi 2 mars 2010, « pour arrêter [leur] position » sur l'OGM Amflora. Le même jour, la culture de cette pomme de terre génétiquement modifiée, mise au point par l'industriel allemand BASF, a été autorisée à l'échelle européenne par la Commission européenne (L'AEF n°274516).
Une « étape positive » pour le PPE (Parti populaire européen), une décision qui « bafoue lamentablement la directive européenne de 2004 » pour les Verts européens. Ce sont deux des réactions de partis politiques européens et d'ONG qui font suite à la décision de la Commission européenne d'autoriser la culture de la pomme de terre génétiquement modifiée Amflora, mardi 2 mars 2010 (L'AEF n°274516). C'est la première fois depuis 1998 que la Commission européenne autorise la culture et commercialisation d'un nouvel OGM.