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Les jeunes chercheurs de nationalité étrangère connaissent en France « un manque de relations contractuelles, induisant des conditions de travail dégradées et engageant la responsabilité juridique des établissements », « un taux de non-financement très élevé » et « des difficultés d'information avant leur venue, notamment concernant le titre de séjour scientifique qui est pourtant le plus adapté à leur activité professionnelle » : tels sont les premiers enseignements du sondage réalisé par la CJC (Confédération des jeunes chercheurs) en mai 2010, divulgués lors de sa 2e université d'été, le 30 juin 2010 à Strasbourg (AEF n°266369). « Quasiment la moitié des doctorants et jeunes docteurs interrogés n'ont pas de contrat de travail », pointe Cécile Frolet, qui présente les premiers résultats de ce sondage pour la CJC.
La CJC (Confédération des jeunes chercheurs) organise sa seconde université d'été du 30 juin au 4 juillet 2010 à Strasbourg. Une session publique est ouverte à tous le 30 juin, destinée à un échange avec les acteurs de l'enseignement supérieur et de la recherche sur le thème de la recherche doctorale en Europe. Une table ronde intitulée « Doctoral research in Europe : evolutions, trends and challenges » (recherche doctorale en Europe : évolutions, tendances et défis) se tiendra à 14h30 et sera suivie, à 15h45, d'une présentation des travaux menés par la CJC sur « les situations spécifiques des jeunes chercheurs étrangers ». L'université d'été se prolongera les 1er et 2 juillet par des séminaires de formation à l'intention des jeunes chercheurs engagés dans la CJC, puis par des séances de travail sur les dossiers en cours à la confédération les 3 et 4 juillet, dont un « guide du doctorat ».
La CJC (Confédération des jeunes chercheurs) lance un sondage en ligne sur la situation des jeunes chercheurs de nationalité étrangère en France, vendredi 7 mai 2010. Elle souhaite ainsi « observer l'évolution de la situation par rapport au premier sondage de 2006 » et « compléter l'analyse de leurs conditions d'accueil et de travail ». L'objectif poursuivi est d'aider à « améliorer la situation des doctorants et docteurs étrangers travaillant en France ». La CJC compte aussi sur cette enquête pour « motiver les responsables universitaires et politiques à s'intéresser au sujet ».
Les chercheurs étrangers arrivant en France n'ont qu'une « connaissance médiocre du réseau Euraxess qui les a pourtant accueillis », révèle la Fnak (Fondation nationale Alfred Kastler) dans la dernière livraison de sa lettre d'information « Chroniques » datée d'avril 2010. La fondation fait elle-même partie du réseau français des 24 centres Euraxess dont la mission est d'assister les chercheurs étrangers qui viennent séjourner en France (AEF n°325668). D'après l'enquête qu'elle a menée auprès de 444 de ces chercheurs étrangers qui ont été accueillis en 2009, il s'avère que 63,5 % indiquent « ne pas avoir contacté le centre de services Euraxess dont ils ont reçu une information détaillée sur son offre de services gratuite ». La Fnak ajoute que « ceci est corroboré par la faible consultation des portails Euraxess français (5,6 %) et européen (1,8 %) ».
Mercredi 25 janvier 2023, ICPF a annoncé ouvrir son capital à hauteur de 30 % par le biais d’une levée de fonds de 4 millions d’euros réalisée auprès de la société d’investissement CITA. Objectif : permettre à cet organisme de certification qualité, qui est accrédité par le Cofrac pour délivrer Qualiopi - cette activité représentant l’essentiel de son chiffre d’affaires, de lancer en septembre 2023 une nouvelle version de sa plateforme numérique avec pour ambition de proposer aux autres organismes certificateurs "une plateforme intégrée de gestion de leurs propres offres de certification, d’évaluation ou d’inspection", explique à AEF info François Galinou, le président d’ICPF. L'organisme souhaite également "déployer une offre de mise en relation entre les certificateurs et les organismes de formation qui ne savent pas nécessairement se faire habiliter sur Qualiopi."