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La collecte d'Unifaf, l'Opca de la branche sanitaire, sociale et médico-sociale privée à but non lucratif, s'établit à près de 344 millions d'euros en 2009, en progression de 7 % par rapport à l'année précédente. Dans le même temps, ses engagements progressent de 8 % pour s'établir à près de 350 millions d'euros en 2009. C'est ce qu'indique le rapport d'activité de l'organisme paritaire mis en ligne sur son site Internet dans le courant de l'été. Dans le communiqué accompagnant ce rapport, Unifaf note qu'il « s'est vu conforté dans ses orientations par la loi du 24 novembre 2009 mais demeure dans l'attente du ‘décret Opca', à paraître prochainement, qui risque de modifier sensiblement son cadre d'intervention ».
Unifaf, l'Opca de la branche sanitaire, sociale et médico-sociale privée à but non lucratif, vient de mettre en ligne sur son site Internet (www.unifaf.fr) un espace dédié aux employeurs et représentants du personnel de ses entreprises adhérentes : les « Webservices ». Cet espace sécurisé a pour objectif de « répondre aux besoins d'information et de simplification des adhérents de l'Opca en matière de formation professionnelle continue ». Mis en ligne début mai 2010, ce nouveau service a enregistré « plus de 1 200 demandes d'accès » en huit jours. Dans le même temps, l'Opca a adressé à l'ensemble de ses adhérents une brochure de présentation de ce nouveau service et a ouvert un numéro de téléphone « Azur » pour aider à la prise en main de ces Webservices.
Les instances d'Unifaf ont choisi de faire porter la part de sa contribution au FPSPP (Fonds paritaire de sécurisation des parcours professionnels) qui aurait dû être prélevée sur le plan de formation, « sur les fonds mutualisés des cotisations non utilisées par les adhérents ». C'est ce qu'indique, dans un courrier daté du 10 février 2010, le fond d'assurance formation des entreprises de la branche sanitaire, sociale et médico-sociale privée à but non lucratif, adressé à l'ensemble de ses adhérents. Cette décision a été rendue possible par une « mutualisation exceptionnelle en 2009 » et elle est prise pour « ne pas perturber rétroactivement [le] plan de formation 2009 ». « Les textes d'application sont arrivés tardivement [publication le 23 janvier du décret fixant la contribution (AEF n°277254)] alors que les comptes 2009 étaient clos et les budgets formation déjà établis », explique-t-on du côté du FAF. Ce dernier avait alerté, dès le 16 novembre 2009, ses adhérents sur le risque de voir leur plan de formation « amputé de 7,3 % » si le taux de contribution au FPSPP était retenu à hauteur de 13 %.
Unifaf, l'Opca de la branche sanitaire, sociale et médico-sociale privée à but non lucratif, a signé le 19 novembre 2009 un accord national avec la Croix-rouge française, la Fehap (Fédération des établissements hospitaliers et d'aide à la personne) et la FNCLCC (Fédération nationale des centres de lutte contre la cancer) afin de développer « l'offre de formation de la branche dans le secteur sanitaire » et d'« accompagner la professionnalisation des personnels sur les problématiques de santé publique ». D'une durée d'un an, le partenariat engage les trois organismes et Unifaf à « travailler en commun » pour développer une offre de formation nationale plus « réactive » auprès des adhérents de l'Opca.
Les mutations qui marquent le secteur sanitaire, social et médico-social privé à but non lucratif imposent de "mieux appréhender" leurs effets sur la professionnalisation du personnel des établissements. C'est l'objectif que se sont donnés Unifaf Île-de-France et l'Observatoire prospectif des métiers et des qualifications de la branche à travers une étude sur « la professionnalisation des personnels des établissements accueillant des adultes en grande difficulté sociale » présentée mardi 12 mai 2009. Cette étude menée en 2008 par le cabinet Ithaque met en évidence les pratiques des établissements en matière de formation des salariés du secteur sans négliger les « principaux obstacles ».
28 associations bénéficieront de financements du gouvernement pour mener à bien des actions en faveur de l’égalité économique entre les femmes et les hommes. Elles ont remporté l’appel à projets lancé en mars 2022, doté d’une enveloppe totale d’un million d’euros. Les projets financés visent en particulier à "permettre à un plus grand nombre de femmes d’accéder à une autonomie économique", à "permettre aux femmes, notamment celles les plus éloignées de l’emploi, de s’insérer professionnellement" et à "promouvoir la mixité dans des secteurs identifiés comme non mixtes".