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« Nous préparons un projet éducatif global pour la France qui s'appuie sur de nombreuses expérimentations. Il ne s'agira pas seulement de créer des postes supplémentaires. Il contient un travail sur la pédagogie mais aussi sur les rythmes scolaires. Nous travaillons d'ailleurs en ce moment avec les syndicats enseignants sur ce projet et nous le rendrons public en décembre », indique Martine Aubry, maire de Lille et secrétaire générale du parti socialiste, lors d'une conférence de presse à l'école Samain-Turlin à Lille. « Ce qu'il faut, c'est remettre les enseignants au coeur de la société et revaloriser cette profession qui est le plus beau métier du monde. C'est l'une des conditions du changement des grandes injustices de notre pays. L'avenir de notre société passe par l'école », estime-t-elle.
« Je vais d'ores et déjà signer une recommandation pour faire respecter une pause d'une heure et demie à l'heure du déjeuner -une meilleure respiration est nécessaire à la mi-journée », annonce le ministre de l'Éducation nationale, mardi 24 août 2010, dans une interview à l' « Express ». Cette annonce intervient alors que le ministre se rendra jeudi au Danemark pour un voyage d'étude, dans le cadre de la conférence nationale sur les rythmes scolaires, installée le 7 juin 2010 (AEF n°267249).
« Les pays les plus optimistes quant à l'utilisation des TIC sont Malte, la Pologne, Chypre, le Royaume-Uni et le Portugal, alors que les moins optimistes sont l'Islande, la France, le Luxembourg, la Suède et la Belgique », indique une étude (1) financée par la direction générale de l'éducation et de la culture de la Commission européenne, rendue publique jeudi 29 juillet 2010. Cette étude, baptisée STEPS, analyse les stratégies d'intégration des Tice dans les écoles primaires des 27 pays de l'Union européenne, leur impact et les perspectives d'évolution pour l'avenir (AEF n°465296).
« Alors que les discussions ont été interrompues unilatéralement, le document interne 'schéma d'emplois 2011-2013' adressé aux recteurs d'académie en vue de la préparation de la carte scolaire 2011 suscite la stupeur et la consternation. […] Ces mesures sont en totale contradiction avec les engagements précédents, les études sur les causes et les moyens de remédier aux difficultés scolaires », indiquent dans une adresse solennelle au ministre de l'Éducation nationale des organisations syndicales, fédérations de parents d'élèves et associations professionnelles (1). Un diaporama et des fiches élaborés par le ministère ont présenté aux recteurs « treize leviers » afin de « mobiliser les gisements d'efficience visant à respecter la contrainte du non-remplacement d'un départ sur deux [à la retraite] pour la période 2011-2013, sans dégrader les performances globales » (AEF n°AEF n°132638).
« La grande majorité des établissements ne semblent pas ou peu concernés par l'assouplissement de la carte scolaire mais 10 % des établissements sont dans une situation extrêmement inquiétante », déclare à AEF Philippe Tournier, secrétaire général du SNPDEN-Unsa, commentant une enquête sur l'assouplissement de la carte scolaire rendue publique jeudi 6 mai 2010 par le syndicat (AEF n°276868). « Comme on pouvait s'y attendre, on trouve dans cette catégorie certains des établissements de RAR et de ZEP, mais aussi, de manière plus surprenante, des collèges moyens situés dans des villes moyennes, en proie à la concurrence. Des phénomènes préoccupants qui pourraient s'amplifier sont en train de s'installer et c'est maintenant qu'il faut agir ! », avertit le syndicaliste. « C'est la première enquête de cette ampleur sur la carte scolaire. Le ministère de l'Éducation nationale nous a fait savoir que notre étude l'intéressait. Peut-être notre enquête poussera-t-elle la Dgesco à sortir son propre travail ? », ajoute-t-il (AEF n°276700).
L'Académie nationale de médecine dénonce dans un rapport rendu public jeudi 28 janvier 2010 « le rôle néfaste de la semaine dite de quatre jours sur la vigilance et les performances des enfants ». « Il faudrait une année scolaire de 180 à 200 jours (avec comme corollaire la réduction des grandes vacances), quatre à six heures de travail par jour selon l'âge de l'élève, 4,5 à 5 jours de classe par semaine », estime le rapport rédigé par un « groupe de travail chargé d'apprécier l'aménagement du temps scolaire sur la santé de l'enfant ».