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Plus d'une centaine d'étudiants, réunis à l'appel de l'Unef, ont envahi, mardi 14 septembre 2010, les CA des universités de Metz et Nancy-II qui devaient se prononcer sur les principes de structuration de la future université de Lorraine sous forme de « grand établissement » (Nancy-I Henri-Poincaré et Nancy-II, Metz et l'INPL), indique l'Unef à AEF. Jean-Baptiste Prévost, président de l'Unef, présent à Metz, indique que les CA des deux universités ont été suspendus en cours d'après-midi. Les étudiants étaient environ 70 à l'université de Metz et 50 à l'université Nancy-II, selon l'Unef. Une assemblée générale sera prochainement organisée sur ce sujet, mais « en l'état, ce projet n'est ni amendable, ni négociable », affirme l'organisation étudiante. Jusqu'à présent, seule l'université Paris-Dauphine dispose du statut de grand établissement.
« 88 % des administrateurs [des quatre universités lorraines] présents ou représentés sont favorables à la création d'une université lorraine unique » : tel est le premier « avis » globalement favorable concernant ce projet de regroupement universitaire, recueilli à l'occasion d'une réunion tenue le 22 juin 2010 à Metz (avec 75 participants répondants). Cette réunion commune était organisée « pour débattre et donner un avis, sans vote formel, sur le modèle de gouvernance proposé à partir d'un texte largement diffusé, déterminant les principes et les ambitions de la construction de l'Université de Lorraine (AEF n°271793) », indiquent les services du PRES de l'Université de Lorraine.
« Pour que la construction de l'Université de Lorraine se réalise dans un climat serein, les présidents des quatre universités devraient commencer par répondre au questionnaire que nous leur avons adressé il y a deux mois, qui porte à la fois sur les apports prévisibles du futur grand établissement et sur la place qui sera réservée aux sites mosellans. Si nous n'obtenons pas des engagements précis sur ces points, il nous sera difficile de continuer à accompagner le projet », soulignent ce vendredi 18 juin 2010 à AEF plusieurs représentants d'une intersyndicale de l'UPV-M (1). Les quatre conseils d'administration des universités lorraines sont appelés à examiner, mardi 22 juin 2010, une version aménagée du document de cadrage de la construction de la future université unique (AEF n°271793).
« Afin d'améliorer la gouvernance et la gestion de [la future] université de Lorraine, des instances fédératives de niveau intermédiaire de deux types sont créées, [à la fois] des collegiums regroupant en leur sein des UFR, écoles ou instituts, [et] des pôles scientifiques, regroupant des laboratoires » : tel est le mode d'organisation retenu dans le cadre général de construction de l'UdL (université de Lorraine), qui a été soumis quasiment simultanément aux quatre conseils d'administration des universités de Nancy et Metz, le 6 avril 2010 après-midi. « Nous avons […] atteint un tournant dans la démarche de rapprochement. L'avis des conseils sur le projet, son contenu et la manière de le conduire, est maintenant une nécessité ; un mandat renouvelé et des orientations politiques sont sollicités pour la poursuite du projet », est-il indiqué dans le texte préparé par le groupe de travail « organisation et gouvernance », qui s'est réuni seize fois en neuf mois. La version amendée sera présentée lors d'un CA commun dont la date et les modalités de consultation ne sont pas encore fixées, précise le délégué général du PRES lorrain Hervé Coilland. Les trois autres groupes de travail (formation, recherche, vie universitaire) se réunissent régulièrement depuis début janvier.
Mercredi 25 janvier 2023, ICPF a annoncé ouvrir son capital à hauteur de 30 % par le biais d’une levée de fonds de 4 millions d’euros réalisée auprès de la société d’investissement CITA. Objectif : permettre à cet organisme de certification qualité, qui est accrédité par le Cofrac pour délivrer Qualiopi - cette activité représentant l’essentiel de son chiffre d’affaires, de lancer en septembre 2023 une nouvelle version de sa plateforme numérique avec pour ambition de proposer aux autres organismes certificateurs "une plateforme intégrée de gestion de leurs propres offres de certification, d’évaluation ou d’inspection", explique à AEF info François Galinou, le président d’ICPF. L'organisme souhaite également "déployer une offre de mise en relation entre les certificateurs et les organismes de formation qui ne savent pas nécessairement se faire habiliter sur Qualiopi."